Wednesday, 31 January 2018
An inn in the country
I recently blogged (twice actually) about The Frog, the local pub of the little village of Skirmett. Well, it turns out that The Frog is an also an inn, as it has accomodation. Not big or luxurious one, but they seem comfortable, and the pub being right in the heart of English countryside. Back when I was a child, this would have been my dream destination. It would have fired up my imagination, as quaint little hotels often did back then. They still do. I often played with my brothers and friends about such places. Sometimes it was murder mystery, sometimes medieval fantasy or horror stories, but there was plenty of villains, secret passages, haunted roads and dangers in these imaginary inns of our make belief games. There are probably still a few stories to be told about such places. I really need to go back to that pub.
Fondue nostalgique
Lors de notre dernier séjour au Québec, mes parents ont fait une authentique fondue au fromage maison. Pas en sachet préfait, ce qui est quand même honnête, mais avec du vrai fromage et à partir de zéro. C'est plus d'ouvrage, mais c'est bon. Je n'en avais pas mangé depuis trois ans au moins. J'aime la fondue, même si ça finit par toujours par me tomber sur le coeur. Il y a des années, ma femme m'a acheté un livre de recettes de fondues. Il y en avait de toutes sortes: au fromage, à la viande, en dessert, etc. Ils recommandaient d'accompagner la fondue au fromage traditionnelle comme celle-ci avec des croûtons de pain ou... des saucisses à cocktail enrobées de bacon. On n'a pas osé essayer. Je ne suis pas un grand fan des livres de recettes, mais celui-là je l'ai vraiment aimé et j'ai fait de belles expériences culinaires avec, les rares que j'ai réussies d'ailleurs. J'espère le retrouver pour pouvoir m'y remettre, bien que ce soit difficile de trouver des caquelons en Angleterre et que les repas de fondue sont assez rares. Lire: ce n'est pas du tout une tradition.
Tuesday, 30 January 2018
The Spy Who Came in from the Cold
I don't know how is your literary year so far, but I have already made a few discoveries that I have been wanting to share here. So with no further ado, here is today's
reading suggestion: The Spy Who Came in from the Cold by John le Carré.
A classic and a (if not the) Cold War spy drama that is also the anti James Bond. Disgraced spy Alec
Leamas comes back to London from a catastrophic time in Berlin, after seeing the destruction of
the whole network of moles he had nurtured, only to be sent himself as a
fake defector to the Eastern Block to discredit the East German counter
intelligence officer who kill them all, often by his own hand. But
nothing is as it seems. It's dark, dreary, utterly unglamorous,
completely Machiavellian and fascinating. Like a Shakespearean tragedy
set during the Cold War. Which is icy cold here.
Souvenir d'une pluie verglaçante
Je ne sais pas pourquoi, il m'est récemment venu en tête un souvenir qui date du début de mon adolescence, la première année du secondaire, en 1990: il y avait eu du temps doux et une pluie qui était vite tombée en verglas. Ce qui fait qu'on n'a eu qu'une demie journée d'école avant d'être renvoyés chez nous. Sur le chemin du retour, comme il pleuvait encore, nos manteaux étaient couverts d'une couche de glace. Le chemin était bien entendu une patinoire, alors j'ai passé l'après-midi chez nous à ne rien faire.
Monday, 29 January 2018
Thinsulate
I don't know if my readership is aware of this, but while I am the last person on earth who can be labeled a slave of fashion, I can be a sucker for certain types of clothes: warm and comfy ones. I love thick, woolly stuff. Since I there is a branch of Mountain Warehouse in town, I discovered the Thinsulate brand, which seems to be always on discount there. And I completely fell in love with it. I bought a number of pairs of socks, some gloves and no hat as of yet, but it will happen eventually. Too many places get easily wet and cold in this country, so I wear the socks as often as I can. Not only the clothes are warm, but they are all completely and utterly inelegant.
Un feu de foyer au pub
J'ai blogué hier sur notre visite au pub The Frog, qui est situé dans un petit patelin perdu en campagne. Un pub rustique comme je les aime. Il y avait en plus un foyer avec un feu dedans. Un vrai foyer, avec un vrai feu bien actif. Ça n'a l'air de rien comme ça, mais si les foyers sont communs dans les pubs anglais, ceux qui sont utilisés comme celui-ci sont rares. Ça nous tenait au chaud une journée où on en avait bien besoin. Pas qu'elle soit glaciale, mais elle était froidasse et humide et surtout morne. Un feu de foyer une journée comme celle-là, ça a quelque chose de réconfortant. Ce qui est de bien en plus, c'est qu'il y a des bancs et qu'on peut donc s'y asseoir autour. Il y a aussi un divan pas loin, ce qui permet de profiter de la chaleur tout en lisant ou en prenant un verre, comme si on était dans son salon. C'est ce que je ferais si je séjournais au pub (et on peut le faire). Morale de l'histoire: va falloir qu'on revisite The Frog un de ces quatre.
Sunday, 28 January 2018
A pheasant for the roast
I got my wish, we finally went to the pub today for a Sunday roast. It was at The Frog in Skirmett, a quaint english pub in a quaint English village, but we had read some positive reviews online. So anyway we went there and on the daily special there was... a pheasant roast. Hunted in the woods nearby. I know this because they warned that it might contain a shot. I could not resist trying it. I was wise, as it was absolutely delicious. Not only the best roast I had, but the best pub meal I had in years. It is difficult to describe, but basically wild animals like this taste wild. They taste of woodlands. And it was actually slightly cheaper than a lot of other things on the menu. Oh and for the record, it did contain the shot.
Labels:
comfort food,
dimanche,
faisan,
fin de semaine,
food,
gastronomie,
pheasant,
pub,
pubs,
Skirmett,
Sunday,
Sunday Roast,
The Frog,
weekend
Bédé noire
J'ai récemment blogué sur La position du tireur couché de Jean-Patrick Manchette, roman noir que je veux revisiter. Or, je me suis rappelé que Jacques Tardi en a fait une adaptation en bande dessinée, parmi d'autres romans du même auteur. Si je mets la main sur la bédé, ça me permettrait de relire le roman, mais sous un nouvel angle. Qui plus est, Tardi est un autre auteur que je veux redécouvrir, parce que je l'ai trop peu lu et je ne l'ai pas lu depuis trop longtemps. Alors voilà, c'est mon prochain projet de lecture francophone. Mais dans un premier temps, il me faut mettre la main sur l'adaptation.
Saturday, 27 January 2018
The great Wolfgang to celebrate
Today is the birthday of Wolfgang Amadeus Mozart, and thus I celebrate it, on this blog and at outside the virtual world. To share my love for the great composer, I usually share one of the arias from his operas, as I came to love him through his operas and I consider that he wrote the greatest operas. This year it will be Dove sono from Le Nozze di Figaro. Sung by Dorothea Röschmann. One aria is not enough, but I will blog more Mozart in the weeks to come.
Labels:
anniversaire,
birthday,
books,
chanson,
Dorothea Röschmann,
fête,
Le Nozze di Figaro,
Le Petit Ménestrel,
livre,
livres,
Mozart,
music,
musique,
opéra,
song
Un sandwich (ouvert) au saumon
J'ai pris cette photo au Field Kitchen à Nettlebed, où nous sommes allés il y a plusieurs mois pour luncher. J'aime bien ces coins perdus où l'on fait souvent des trouvailles gastronomiques. Le (la?) Field Kitchen est un café plein de cachet et la bouffe est excellente. J'ai donc mangé ce sandwich ouvert au saumon fumé avec beaucoup de verdure et du vinaigre balsamique pour faire santé. J'ai bien entendu pris la photo dans le but de faire de la food porn sur Vraie Fiction. Quand je veux me gâter à l'heure du dîner, j'essaie de manger du saumon fumé. On ne peut pas se tromper avec du saumon fumé.
Labels:
balsamic vinegar,
café,
comfort food,
fish,
food,
gastronomie,
Nettlebed,
poisson,
salmon,
sandwich,
saumon,
The Field Kitchen,
vinaigre balsamique
Friday, 26 January 2018
The owl in the oak
I took this picture at the National Museum Cardiff. It was maybe my favourite display in the museum. Can you see the owl hiding in the hole of the oak tree? It's a classic image, the owl in the hole, or, more precisely, the owl in the hole of an oak. It's vaguely spooky, atmospheric and mysterious as displays with stuffed owls usually are. I love owls and I have decided to educate myself about them (read my post here). So I might post more about owls in the future. Right now, all I want is to share that picture, I thought this was a good time as any. What do you think of it?
La position du tireur couché
Martin Terrier était pauvre, esseulé, bête et méchant, mais
pour changer tout ça, il avait un plan de vie beau comme une ligne
droite. Après avoir pratiqué dix ans le métier d'assassin, fait sa
pelote et appris les bonnes manières, il allait rentrer au pays
retrouver sa promise et faire des ronds dans l'eau... Mais pour se
baigner deux fois dans le même fleuve, il faut que beaucoup de sang
passe sous les ponts.
Ceci est une citation de la quatrième de couverture de La position du tireur couché de Jean-Patrick Manchette. C'est le premier Série Noire que j'ai lu, un cadeau de mon parrain (à Noël 1997). J'ai déjà parlé de cette découverte dans ce billet. Ces temps-ci, je me sens comme le goût de le relire. Il est malheureusement de l'autre côté de l'Atlantique. C'est en fait le seul roman de Manchette que j'ai lu (sauf une adaptation bédé sur laquelle je bloguerai peut-être un jour) et je me dis qu'il me faudra que je corrige ça aussi. Il y a une violence impitoyable dans les romans de Manchette avec une sobriété dans la prose qui est assez difficile de trouver ailleurs. Enfin bref, je parlais de catharsis hier, j'aurais comme envie d'une dose cathartique d'un polar bien noir.
Ceci est une citation de la quatrième de couverture de La position du tireur couché de Jean-Patrick Manchette. C'est le premier Série Noire que j'ai lu, un cadeau de mon parrain (à Noël 1997). J'ai déjà parlé de cette découverte dans ce billet. Ces temps-ci, je me sens comme le goût de le relire. Il est malheureusement de l'autre côté de l'Atlantique. C'est en fait le seul roman de Manchette que j'ai lu (sauf une adaptation bédé sur laquelle je bloguerai peut-être un jour) et je me dis qu'il me faudra que je corrige ça aussi. Il y a une violence impitoyable dans les romans de Manchette avec une sobriété dans la prose qui est assez difficile de trouver ailleurs. Enfin bref, je parlais de catharsis hier, j'aurais comme envie d'une dose cathartique d'un polar bien noir.
Thursday, 25 January 2018
War Games
I took this picture at the York Castle Museum and have decided to use it to illustrate my post. This is the weaponry of a British soldier of World War 1 (I think it was the first one anyway, I might be wrong). Looking back at it, it struck me that some of these weapons have an uncanny resemblance with some of the toy guns I had or my friends had when I was a child. The revolver especially. We used to play war a lot back when I was a kid, with very life like plastic guns. war games, or cops and robbers, cowboys and Indians (or more like cowboys and desperadoes), spy games, and so on and so forth. But they always involved firearms, knifes and they all looked so real. I even remember some plastic grenades. I used to really enjoy these games, in spite or because of the violence in them. It was cathartic. So part of me remembered these games when I took this picture, because of the revolver, and not the horrors of war. Also, I can't help but think we don't make good toy guns as they used to, although I understand why they can't look like genuine anymore. Still, we used to play such fun games then.
Labels:
catharsis,
childhood,
enfance,
games,
histoire,
history,
jeux,
nostalgia,
nostalgie,
Première Guerre Mondiale,
World War 1,
York,
York Castle Museum,
Yorkshire
Ah, motoneige a neigé...
Pour continuer sur mes billets sur la neige et pour vous faire commencer la journée, un petit numéro de François Pérusse, avec le gars qui magasine une motoneige. Je n'en dirai pas plus, comme d'habitude il est bête et méchant. C'est pas mal crampant.
Labels:
François Pérusse,
hiver,
humour,
motoneige,
neige,
saisons,
seasons,
snow,
snowmobile,
winter
Wednesday, 24 January 2018
The Isle of Wight?
I don't know when our next holidays will be, nevertheless, we are already thinking about them and evaluating our options. I like to start thinking about our next holidays as quickly as possible after the last ones, it makes me endure the boredom of everyday life. We usually have once a year a UK holiday. My wife suggested the Isle of Wight and so far it is the most tempting idea: visiting an island would be unusual and while still technically part of England it is, well, an island, separated from the mainland, so it is a more exotic destination for us. And we think we can go off season (since we have a child in pre-school age and all), so it would be cheaper.
Labels:
Angleterre,
England,
holidays,
Isle of Wight,
Royaume Uni,
UK,
vacances
Le blizzard
Cette photo a été envoyée par mon père. Il fait un froid de canard au Saguenay, avec vents et donc c'est un vrai blizzard qu'il y a. Et blizzard est donc notre nouveau mot du jour. Mes parents sont littéralement enfermés chez eux, il fait froid tant que ça.
Labels:
hiver,
mot du jour,
neige,
saisons,
seasons,
snow,
température,
vent,
Weather,
wind,
winter,
word of the day
Tuesday, 23 January 2018
"Cold? Buy a book!"
This post is about an inspired marketing ploy which I actually have not seen live, but found out online when I was browsing on Twitter. I believe this piece of marketing is from an independent bookshop, I might be wrong. I find it brilliant. It has not always been very cold these last few days, but since this country is wet this time of year, you feel cold anyway. And from experience, having a book does warm you up. Well, it does not, but it makes you feel like there is more to life than discomfort, pain and suffering. And any excuse to buy a book is a good excuse.
Mises à niveau technologiques
Des fois il faut se rendre à l'évidence: le téléphone cellulaire que j'ai se fait vieux et est au bout du rouleau et ça commence à être la même chose pour mon portable. Mon cell date d'il y a trois ans ou à peu près, mais c'est semble-t-il la durée de vie d'un téléphone cellulaire. Il n'y a plus moyen de télécharger de nouvelles apps et sa mémoire lui joue des tours (lire: elle est pleine). Pour le portable, c'est pire, il doit bien avoir cinq ans ou presque et, s'il est un peu plus endurant, il va falloir lui dire au revoir également et songer à en acheter un nouveau. Je songeais donc à demander à mon lectorat s'ils ont des recommendations à faire pour l'un et l'autre. Des suggestions?
Monday, 22 January 2018
Every Monday...
I blogged last week about Blue Monday, as it was Blue Monday. I made this comment: "every Monday is Blue Monday." Fellow blogger and frequent reader of Vraie Fiction Debra said on her comment that it should be a great unknown line. As it is Monday again, I have decided to officially make it on this post a new great unknown line. In the meantime one can verify its claim. Was/Is your Monday like last Monday and like every Monday. Was/Is it a blue one?
Fenêtre avec vue
Photo prise au York Castle Museum et utilisée ici encore une fois car elle sert mon propos et aussi parce qu'elle a un air saisissant. Enfin bref, je discutais avec mon frère PJ récemment et il me disait qu'il n'ouvrait jamais les rideaux de la fenêtre de sa chambre car elle donnait sur une ruelle. Ici, les fenêtres de notre chambre donnent sur la cour-arrière, puis sur le stationnement d'un édifice à bureaux. Heureusement, il y a des arbres pour créer comme un mur psychologique. On ne se sent jamais observé si on ouvre les rideaux. C'est l'avantage de vivre dans une petite ville (techniquement un village, paraît-il): la distance relative avec le voisinage immédiat.
Labels:
famille,
family,
home,
home sweet home,
maison,
York,
York Castle Museum,
Yorkshire
Sunday, 21 January 2018
Dorothy Malone and The Big Sleep
I learned something quite sad yesterday: Dorothy Malone passed away. I only knew her from a single scene in The Big Sleep, where she played the geeky yet sexy bookshop clerk who flirts with private eye Philip Marlowe. It is an extended scene from the novel, yet it remains quite short, but very memorable. I don't want to sound nostalgic, but you don't make seduction scenes like this anymore, where no innuendo is lost, nothing is gratuitous, every word, look, movement is so effective. So I decided to share it on this blog as an homage to the actress.
Régime sec
Photo prise dans le Derbyshire, dans un petit pub de village. J'y avais bu trois bières anglaises, des demi-pintes pour le prix d'une pinte. Je déplorais récemment que l'on n'avait pas encore mis les pieds dans un pub depuis notre retour de vacances. J'y ai repensé et c'est bien pire: je n'ai pas bu une seule bière, une seule real ale anglaise depuis mon retour. Autant dire que je suis au régime sec (parce que le vin, ça compte pas vraiment). Pas une seule bière depuis le début de l'année! Il faudra que je corrige ça.
Labels:
Angleterre,
beer,
bière,
Derbyshire,
England,
microbrasserie,
microbrewery,
pub,
pubs,
real ales
Saturday, 20 January 2018
The Secret Life of the Owl
What I love about going to the local bookshop, or indeed any bookshop, is to find a book that just makes sense for me to read, even though I had no idea of its existence. It is something akin to a reader's fate. So when I went a week ago I stumbled on The Secret Life of the Owl and decided to buy it right away. As my readers know I love owls. I find them beautiful and mysterious. But I know fairly little about them, so I decided this was a great opportunity to actually learn about them. So I have been reading this for the last week, among other books I read. I love it. It does get slightly gross when it talks of pellets, but this is an aspect I need to know about too. I hope to share my new knowledge of owls, whether it is their biology or their significance in mythology and literature, in future posts.
Les samedis enfermés
Il a fait un temps t'atroce (oui, la mauvaise liaison est volontaire, afin de mettre de l'emphase aujourd'hui: pluvieux, frais, gris, misérable. Alors nous sommes demeurés à l'intérieur toute la journée. D'ordinaire je n'aime pas rester enfermé toute une journée la fin de semaine, j'aime en profiter pour sortir, mais faire l'ermite aujourd'hui a eu du bon: on a pu faire un peu de lavage et de rangement, d'abord. Comme on a des amis qui viennent demain, ça nous a permis de nous préparer un peu. Ensuite, comme c'était misérable dehors, j'ai pu utiliser mon temps libre à être paresseux en tout confort. Ça fait parfois du bien d'être veg.
Labels:
fin de semaine,
pluie,
rain,
samedi,
Saturday,
température,
Weather,
weekend
My place in Liverpool
Funny little bit of anecdote that happened to me recently: I was contacted by an academic association I am still a member of, asking me of my new address. Apparently, they were still sending their letters to my old address in... Liverpool. Which I left more than ten years ago. I had a lovely big room in a lovely Victorian house. A house that was falling apart because the landlady was stingy and not keen on making necessary repairs. But a lovely house nevertheless. This request about my address made me remember the time I spent in Liverpool and how much I enjoyed my time there and then. I now own my own place, I am married with a child, I am far better off, but if I could choose anywhere to live with my family, with the necessary income to live there, this would probably be this Victorian house.
Malcommode (le mot du jour)
J'ai récemment (depuis nos dernières vacances au pays) recommencé à utiliser ce mot, mais dans sa définition québécoise. Selon le Larousse, "malcommode" signifie "qui est peu pratique, peu commode, peu confortable". Ça ne rime à rien pour un Québécois. Pour nous, "malcommode" veut dire coquin, espiègle, voire malicieux. Comme l'est notre petit loup très souvent. D'ailleurs, l'adjectif lui va si bien que même ma femme l'a adopté. C'est donc notre mot du jour.
Labels:
childhood,
enfance,
famille,
family,
langue,
mot du jour,
Québec,
word of the day
Friday, 19 January 2018
Friday (cover by Stephen Colbert)
I was thinking two things recently: 1)I need to put more music on Vraie Fiction and 2)I need to find a way to celebrate Friday and the weekend, to start it the right way. Then I thought of this cover of Rebecca Black's Friday on the Jimmy Fallon show, with Stephen Colbert singing the lead. I don't care much about Fallon, I care even less about Rebecca Black and her music, but Colbert is a god of comedy and this is both hilarious and irresistibly upbeat. It just puts me in a good mood. Watch it and tell me how it makes you feel.
Labels:
chanson,
fin de semaine,
Friday,
humour,
Jimmy Fallon,
music,
musique,
song,
Stephen Colbert,
vendredi,
weekend
L'uniforme
J'ai pris cette photo au York Castle Museum, car elle illustre mon propos. J'ai donc une confession à faire à propos de mon travail: bien que je l'aime bien, il y a une chose en particulier qui m'agace et c'est le code vestimentaire, beaucoup plus strict que ce en quoi j'étais habitué auparavant. Je trouve ça un peu ridicule, car pendant sept ans j'ai travaillé pour une entreprise internationale d'assez grande envergure, où même les cadres portaient des jeans. Là, pas de jeans, du moins pour les membres de la direction, dont moi. Ça doit être pantalons, chemise et c'est juste si on ne demande pas le veston et la cravate. Bon, il fallait que je le dise ici en toute confidence: je trouve ça absurde. Ne le répétez à personne.
Thursday, 18 January 2018
The next pub
Something struck me recently: since our return in England, we have not been into a pub. Not a single time since 2018. That is way too long, I am ashamed to say. So a visit is in order. Just speculating about it gets exciting: should be a pub we know, or a new one? Either way, I hope it will be an old fashioned pub, with a fireplace like in this picture. This was taken in one of our favourite local pubs, which sadly has now closed down. I prefer old ones, I find them cozier and they tend to be more family friendly.
Toute la neige de 2018?
On annonçait de la neige, il est donc finalement tombé de la neige... Tout ça, ce que vous voyez sur la photo. Ne riez pas. Dans les détails, c'est encore plus pathétique: la petite ville où je vis n'en a pas eu. J'ai pris cette photo hier matin en me rendant au travail. il y en avait un peu par là où je marchais, mais avant d'y arriver et plus loin, rien. Quelques mètres, tout au plus. Je sais que l'hiver peut être long parfois, mais sans neige il l'est encore plus. Parce que le froid est quand même là. Et sans neige c'est gris. Enfin, c'est pas mal tout ce qu'il y a à dire. Je ne serai pas confiné à la maison à ce rythme-là.
Wednesday, 17 January 2018
Puss and Boots
I took this picture at the York Castle Museum. Great place to visit by the way, it is like walking through a different time. And there was this stuffed cat in a Victorian shoemaker shop. I am a cat lover and taxidermy fascinates me. I found this sight both beautiful, with the feline with fiery fur, yet sad, as it was now a dead feline. it only struck me recently that it might have been there as an obscure reference to Puss in Boots. Although such a cat must have been useful in many shop like this one in the past, if only to chase away mice and other rodents. The way he was put on display, he looked very much alive, a nonchalant cats at home.
Labels:
cats,
chats,
clothes,
conte,
contes,
Le chat botté,
Puss in Boots,
tales,
taxidermie,
taxidermy,
vêtements,
York,
York Castle Museum,
Yorkshire
Les Hiboux de Charles Baudelaire
Sous les ifs noirs qui les abritent,
Les hiboux se tiennent rangés,
Ainsi que des dieux étrangers,
Dardant leur oeil rouge. Ils méditent.
Sans remuer ils se tiendront
Jusqu'à l'heure mélancolique
Où, poussant le soleil oblique,
Les ténèbres s'établiront.
Leur attitude au sage enseigne
Qu'il faut en ce monde qu'il craigne
Le tumulte et le mouvement,
L'homme ivre d'une ombre qui passe
Porte toujours le châtiment
D'avoir voulu changer de place.
La photo a été prise dans le Derbyshire et je la mets ici car elle accompagne mon propos. Qui n'est rien d'autre que le poème plus haut de Charles Baudelaire, tiré des Fleurs du mal. Il est plus que temps que je le redécouvre. Parlant de redécouverte, j'ai décidé d'en apprendre plus sur les hiboux (et les chouettes aussi). Ils me fascinent depuis longtemps et je veux être au fait de tout ce qui les concerne. C'est donc par hasard où je suis sur le poème, qui décrit parfaitement je trouve l'aspect fascinant des hiboux.
Labels:
birds,
books,
Charles Baudelaire,
chouette,
Derbyshire,
hibou,
Les fleurs du mal,
livre,
livres,
oiseaux,
owl,
poésie,
poetry
Tuesday, 16 January 2018
Train journeys, short and long
I took this picture at the National Railway Museum of York, maybe my favourite museum in the whole world. I am blogging about trains again, because sometimes I wonder about my next train journey. I am wondering about it for two reasons. The first is that since I started my new job, I do not commute by train anymore. I get to work by bus, on a fairly shorter commute, but I miss the comfort and atmosphere of trains, a mean of transport which never bores me, even on a daily basis. The second reason is that we have not been on a long train journey for holidays since June 2017. And I also miss these long train journeys and cannot wait for the next one, even though it's not always easy with a child.
La brosse à sloshe
Comme on annonce de la neige cette semaine, j'ai décidé de bloguer encore une fois sur le sujet, mais aussi de faire dans l'esthétique du laid. Car qui dit neige dit sloshe. La sloshe dégueulasse pogne sur les bottes et salit les bas de pantalons et tout ça. L'hiver, ce n'est pas toujours beau et immaculé, peu importe où l'on vit, même au Québec, qui est quand même le pays de l'hiver, presque son synonyme. Enfin bref, en 2016, je suis allé voir mon filleul jouer une partie de soccer dans une école et il y avait ça à l'entrée. Une brosse pour se nettoyer les bottes de la sloshe. D'une laideur consommée. C'est pour ça que j'ai fait ni un ni deux et je l'ai photographiée. Il n'y a rien qui représente le côté salissant de l'hiver enneigé que cette brosse électrique. Non mais c'est-tu laitte?
Monday, 15 January 2018
Blue Monday
It is Blue Monday today, for those who believe such dubious concept exists: that Monday in January which is supposed to be the dreariest, most depressing day of the year. Which is of course, pure hogwash: every Monday is Blue Monday, when you think about it. Or at least every Monday in January. The moment you get up to go to work, it is all gloom and doom until next time. Anyway, you can read more details about it here. I don't care about Mondays, but find the concept mildly interesting, even though it is pseudoscience.
Labels:
Blue Monday,
January,
janvier,
job,
lundi,
melancholia,
mélancolie,
monday
Neigera-t-il cette semaine?
On annoncerait de la neige cette semaine, m'a dit ma femme. Je suis sceptique et je ne crois pas que ce soit dans cette région. Je n'ose pas l'espérer, mais ce serait une excellente chose: si c'est le cas et qu'il y a une grosse bordée de neige, les chances sont fortes pour que je puisse rentrer du travail plus tôt.
Sunday, 14 January 2018
Roast beef
This is the last meal I had with my parents, the night before our departure. It was a Sunday, so that makes it a Sunday roast, although that was completely accidental. Roast beef like this is the only experience of Sunday roast I remember from childhood, before I even knew it was a Sunday roast: rare (or medium rare?) meat, mashed potatoes instead of roasted ones, potatoes which must be covered with parsley, and asparagus. Oh, and since I am an adult, I have red wine to go with it. I had really disappointing experiences with beef this side of the pond, I was really happy to rediscover this simple classic.
Labels:
childhood,
comfort food,
dimanche,
enfance,
fin de semaine,
food,
gastronomie,
nostalgia,
nostalgie,
roast beef,
Sunday,
Sunday Roast,
vin,
weekend,
wine
Question existentielle (319)
Une question qui porte sur une constante sur ce blogue, la littérature:
-Quoi lire en janvier?
-Quoi lire en janvier?
Labels:
books,
existential question,
January,
janvier,
livre,
livres,
question existentielle
Saturday, 13 January 2018
£5 voucher and a free bag
Today, I had a few hours alone with my son as my wife was seeing a friend, so I went to the local bookshop. I mostly behaved myself and did not buy much, only three books, one for him, one for me and one for the whole family (my wife reads Kindles now so I rarely buy her books without batteries). I might blog more about them later. The results of this little afternoon adventure: I got enough loyalty points for a five pounds worth voucher and a free bag as a reward. The person at the till did not pronounce my name properly, unlike some others, but I am confident she will get there eventually. After all, I will come back soon, I have five pounds to spend.
Gâteau Reine Élizabeth
Dans les coins régionaux que j'aime beaucoup, il y a Passion Café. L'une des choses que j'aime bien c'est leur sélection de desserts. On s'est d'ailleurs sucré le bec lors de notre séjour. Dont ce gâteau Reine Élizabeth. Je n'en avais pas mangé depuis au moins vingt-cinq ans. Je ne sais pas trop pourquoi j'aime ça, mais c'est je crois la seule bonne chose qui soit sortie du couronnement de Zaza. Si la légende est exacte bien entendu.
The Newsagent Robbery
And now for a little bit of very local crime news: one of the nearest corner shops from where we live was attacked this week. A robber came and threatened the shop owner at knife point. It is literally ten minutes from here, if that. A small corner shop that is on a long but narrow road, one of the first business that I saw in this town when I was looking for a place to rent ten years ago. I even checked a flat next to it. The Ticklers go there sometimes to buy chocolates and sweets. Readers of my blog now that this quiet little town is not always so quiet. When it comes to crimes, its recent history has been eventful: burglaries, burglaries of garages, jewellery heist... And now this. My wife suspects crime might go higher since the local police station has closed down. I have two things to say about this: 1)I am glad I know Krav Maga and want to go back into training and 2)there is a crime story or two to be written about this event.
Labels:
crime fiction,
Israel,
Krav Maga,
littérature policière,
police
Le (petit) loup et les chevreaux
J'ai déjà blogué sur notre visite il y a quelques mois à une sorte de mini-zoo où petit loup a vu des chèvres. Des chèvres naines en fait, qui furent peut-être ses animaux préférés de toute la visite. J'ai décidé de partager une autre photo de notre visite, où l'on voit petit loup et lesdites chèvres. Il semble vouloir monter patte blanche, comme dans le conte du loup et des sept chevreaux, qui m'a inspiré le titre du billet et un peu aussi son sujet. Dans le fond, c'est juste une excuse pour montrer une autre photo mignonne.
Friday, 12 January 2018
Wolfie in the library
There are moments like this when I find it hard to be at work all day, away from my family. So this week, my wife went to the local library with our son. We try to give our child a love for books already and this includes visits to the library. He's been there before and always loved it. In fact, he has his own library card. So this week, not only did he love it, but he made himself a friend, a young boy his age who was there with his grandparents. Wolfie even read a book with him (well, turned the pages). It was apparently quite a sweet show to see him socialize. But it's always nice to see him so happy there. And all I had of this moment was the account from my wife and this picture. I think I might just go again this weekend.
Le chalet sous la neige
Voici le chalet de mes oncles (je crois) sous la neige, en plein milieu du bois. C'est mon père qui m'a envoyé la photo. Ça me rappelle que c'est bien l'hiver quelque part et que l'hiver c'est encore blanc à un endroit dans le monde. J'ai décidé de la partager ici parce que Vraie Fiction suit les saisons et les couleurs des saisons et aussi parce que je m'ennuie de la vraie neige. Ça ne fait même pas deux semaines que j'ai quitté le Québec et j'ai déjà le mal du pays. C'est vraiment pas drôle d'être un expatrié.
Thursday, 11 January 2018
Time to buy new clothes
Well, what the post's title says. I need to buy new clothes, and fairly soon. I don't like to do it, but sometimes it is a necessity. In this particular occasion, it is work related. My working place has a dress code and I cannot be casual. Unfortunately, I have about three wearable shirts and one of them is more than ten years old and thus not that wearable. So I must find new ones. Fortunately I am up to date with trousers. I am not certain where to go. The only shop I tolerate to do clothes shopping is the Mountain Warehouse, and only because they sell warm and comfy stuff that are hopelessly casual. Moral of the story: life is sometimes so unfair.
Devon(s)-nous y retourner?
Photo prise à Dartington dans le Devon et je la mets ici car elle illustre mon propos et le calembour atroce du titre. On a assez peu vu Dartington lors de notre séjour dans le Devon, un jour seulement, mais on avait trouvé ça charmant. Enfin bref, alors que l'on est de retour de vacances depuis peu et qu'on trouve le temps ici un brin monotone, ma femme et moi se sommes dit qu'on peut aussi planifier nos prochaines vacances, qui seront sans doute hors saison (donc moins chères). On s'est aussi dit que retourner dans le Devon serait peut-être une bonne idée, surtout avec un enfant: c'est pleins d'endroits champêtres et un brin hippie, donc moins agressants qu'une ville, et il y a des grands pans de la région qu'on n'a pas encore visités, donc il n'y aurait pas de sentiment de déjà vu. Maintenant il faudra voir où exactement et surtout quand, mais on a le temps de planifier et ça fait partie du plaisir.
Wednesday, 10 January 2018
Siciliana pizza
When I had my old job, in the last few months actually, my colleagues and I had a special pizza lunch once, I can't remember exactly why, someone's birthday or something. We ordered pizza from a restaurant owned by the family of a colleague of Italian origins. As a jest, I sent the menu to my wife and asked her to guess which pizza I would choose. Her answer: "You had the Siciliana. There are 24 pizzas so tell me I know you well!
" she was right of course. What gave away the answer: the olives, the capers and anchovies. All things I love, especially in Italian dishes. Now they have 35 different ones on their menu, but she would have found the right one all the same. Anyway, her answer deserves to be a great unknown line. She does know me well.
Labels:
anchois,
anchovies,
capers,
câpres,
fish,
grandes répliques inconnues,
great unknown lines,
Italie,
Italy,
job,
olives,
pizza,
poisson,
restaurants
"Ce qui nous empêche de prendre des initiatives"
Je blogue assez peu sur le travail, en général et en particulier, parce que j'ai assez peu à dire sur le sujet. C'était différent il y a quelques années, en 2009 par exemple, quand je détestais mon travail t mon milieu de travail et cela me préoccupait (mal payé, trop de voyagement, milieu malsain, etc.) Mais il m'arrive parfois de trouver des sujets de billets intéressants liés au travail. Comme cette bédé trouvée sur... LinkedIn. C'était il y a quelques mois. J'ai une position assez senior dans la petite entreprise qui m'emploie et j'ai pu constater à quel point cette bande dessinée est dans le vrai. Comme quoi on peut parler de vie de bureau et être intelligent. Je trouve toujours très pertinent de la consulter un moment quand je sens que je vais être dans le jus.
Tuesday, 9 January 2018
Commuting in the dark
This is what I have noticed since I am back at work: when I open the curtains, it is pitch black outside. By the time I go out to catch the bus, it is not nighttime anymore, but it still dark. Then when I go back home, it is pitch black. The absence of snow makes it worse. I am trying to get through January and enjoy it, but this one aspect of the month I always hated. January is so dark.
Un hérisson
Faisons encore une fois dans le billet animalier, rien que pour le plaisir et pour partager une autre photo de nos vacances galloises.. J'ai donc pris cette photo au National Museum de Cardiff. Si la ville m'a déçu, ce ne fut pas le cas de ce musée. J'aime bien les animaux empaillés, je ne sais pas pourquoi, mais ils me fascinent. L'un d'entre eux était ce hérisson. Or s'ils sont communs ici, les hérissons se font en général assez timides et sont (pardon pour les allitérations à n'en plus finir) assez difficiles à voir. C'est du moins mon expérience. Alors en voir un de près, même empaillé, c'est assez plaisant. Oh et il y avait une grenouille à côté, mais on s'en fout.
Labels:
Cardiff,
frog,
grenouille,
hedgehog,
hérisson,
National Museum Cardiff,
taxidermie,
taxidermy,
Wales
Monday, 8 January 2018
Cats (and dogs) in a nutshell
I found this comics on the Facebook page of Sarah's Scribbles. I love her comics, not because it is very sophisticated, because of course it is not, but because she is a very good observer and with the same kind of sensibility I have. See this post and that post for more examples. As a cat lover and a cat owner, I found this strip particularly well put. That is pretty much how a cat thinks, or makes you feel. Accepted under certain circumstances. As for dogs, well, they sure are affectionate. Anyway, not only is it very observant, I also find it hilarious: the dumb enthusiasm of the pooch, the black cat's aloof demeanor... And I thought to share it here.
À propos du castelet
J'ai déjà blogué il y a peu de temps sur le théâtre de marionnettes. Finalement, des enfants en ont profité, mais ce ne fut pas mon petit loup. Ce furent les deux filles d'un de mes amis d'enfance. Un ami de mes frères et moi, en fait, et sans doute plus proche de mes frères. Mais enfin bref, il a trois enfants, un petit bébé de quatre mois et deux filles de six ans et trois ans et quelque (je crois). Elles étaient très espiègles. Elles ont adoré le castelet, mais ne l'ont pas utilisé comme scène de pièce de théâtre, d'ailleurs elles n'avaient pas de spectateurs, sauf elles mêmes, petit loup et moi. Alors elles l'ont transformé en château de contes de fées. Pas très loin de l'utilisation qu'on en faisait, j'y pense. Au moins, il aura servi une fois depuis sa rénovation.
Sunday, 7 January 2018
A friendly troll
Back in November, I blogged about a troll I found in a shop in York. I mentioned then that I had seen this brand before, in fact that my family bought one when we went to Sweden, years ago (and I know you can also find them in Norway). You can see on the picture the troll in question, much friendlier than one would expect of a troll: this one is maybe no older than a child (a child troll anyway) and is hugging a... dog? Wolf? Fox? Anyway, I always loved Norse folklore and legends and love stories about trolls, whether they are nice or nasty. So it made sense to buy at least one to decorate our home. This one is very cute in an ugly way. I decided to take a picture during my last time at my parents' home and share it here. I never found a name for him. If you have any suggestions, you make them in the comments. Although a troll might not need a name at all?
Labels:
bibelots,
decorations,
décorations,
folklore,
monster,
monstre,
Mythologie viking,
Myths,
Norvège,
Norway,
Suède,
Sweden,
trolls,
viking,
Viking mythology,
York,
Yorkshire
Les colonnes de la bibliothèque
J'ai déjà blogué sur la York Central Library, parce qu'elle avait un puit de lumière magnifique, encore plus beau que celui de l'ancien Séminaire de Chicoutimi, devenu centre socio-culturel (lequel fait également partie du cégep). La bibliothèque de York a une autre chose en commun avec l'ancien séminaire: des colonnes à son entrée. En plus, les colonnes sont pareilles. Mettons que ça a de la classe. C'est vraiment un bel édifice. Je l'ai visité une fois, mais ça m'a donné envie de déménager à York. J'y passerais beaucoup de temps à bouquiner.
Saturday, 6 January 2018
One free cuppa
During our last holidays, I barely had time to stop and buy anything at David's Tea, so I drank fairly little of it and actually bought none of their accessories, for a change. It is true that our cupboards are getting quite full of mugs and particularly David's Tea mugs and there was nothing I particularly liked about the designs available then. All in all, I must have bought two drinks from their shop. Nevertheless, I have made enough points over the years to earn myself one free cuppa. At the airport in the hours waiting for our flight, so in the nick of time, so to speak. It was actually a rooibos and not a proper tea, because I like rooibos and thought I needed to moderate my caffeine intakes. But anyway, it is always nice to have a free drink.
Des oiseaux dans le toit
Photo prise dans Berry Pomeroy Castle, dans le Devon. Un château médiéval avec beaucoup de cachet et qui a la réputation d'être hanté. Or, selon mon expérience, s'il est hanté par quoi que ce soit, c'est par les oiseaux qui squattent parfois dans son toit. On le les voit pas ici, mais on les entendait voler et piailler de partout. Ou alors ils n'ont pas peur des fantômes. Je ne sais pas pourquoi j'y ai pensé aujourd'hui, mais je m'en suis souvenu et j'ai pensé que c'est un des aspects qui fait son charme. Peut-être que c'est parce que j'ai rangé des affaires au grenier aujourd'hui, je ne sais pas.
Labels:
Angleterre,
Berry Pomeroy Castle,
birds,
castle,
chanson,
château,
Devon,
England,
fantômes,
medieval,
Middle Ages,
Moyen Âge,
oiseaux,
Totnes
Friday, 5 January 2018
Cate Blanchett at Cannes
Nice little bit of news that made my evening yesterday: Cate Blanchett will chair the 2018 Cannes Festival. I am as surprised as I am happy. If somebody deserves to be chairing a film festival of such renown, it is the greatest working actress in the world and no, this is not a superlative. She is the greatest. And she is a true artist, something that cannot be said of everyone in what is also an industry. I cared very little about the Cannes Film Festival in the past. This year I will try to follow it more closely.
Les rentrées cégépiennes
Je ne sais pas quand exactement, mais ce sera bientôt la rentrée dans les cégeps, si ce n'est pas déjà le cas. Dans mon souvenir, la rentrée après les Fêtes était relativement tardive, comparé aux autres établissements d'enseignement. Je peux me tromper. Lors de mes belles années au Cégep de Chicoutimi, ce fut la seule période de ma vie où j'avais hâte aux rentrées des classes. J'étais sincèrement impatient de revenir et revoir mes amis, de même que les profs (ceux de Lettres en tout cas). Je n'ai vécu ça à aucun autre moment de ma vie. J'y ai repensé récemment en revoyant mes amis de cette époque.
Labels:
cégep,
Chicoutimi,
école,
éducation,
nostalgia,
nostalgie,
Saguenay,
Saguenay-Lac-Saint-Jean,
school
Thursday, 4 January 2018
How to survive January
We are at the beginning of the month I generally dislike the most, maybe even more than November. January is long, it is rough, it is depressing and it often makes me melancholic. As usual, I will try to fight the melancholy back and survive the month, at least mentally. Here are a list of things I intend to do to to achieve this goal, please feel free to give me any suggestions and your own experiences:
-Read new books. I am setting up a new reading list which should get me spirit up and I am keeping my eyes open in case I see interesting titles. This is not new, but it always gave good results in the past.
-Work around and on the house to make it more homely. This will give me something to look forward to.
-Whenever I get home, put on some comfy old jumper and warm clothes. This is a new one, for the evenings of the week at least, when I never thought until now to change clothes when I get home from work. My wife suggested it, and I think it's a great idea.
So what are your ways of coping with January?
-Read new books. I am setting up a new reading list which should get me spirit up and I am keeping my eyes open in case I see interesting titles. This is not new, but it always gave good results in the past.
-Work around and on the house to make it more homely. This will give me something to look forward to.
-Whenever I get home, put on some comfy old jumper and warm clothes. This is a new one, for the evenings of the week at least, when I never thought until now to change clothes when I get home from work. My wife suggested it, and I think it's a great idea.
So what are your ways of coping with January?
Labels:
books,
clothes,
home,
home sweet home,
January,
janvier,
livre,
livres,
maison,
melancholia,
mélancolie,
vêtements
"Le loup qui voulait changer de couleur"
Petite plogue rapide et parentale pour un livre pour enfants que j'ai découvert à cette librairie que je n'aime pourtant pas (plus) beaucoup lors des vacances qui viennent de se terminer. Vous connaissez mon amour des loups, que j'essaie de transmettre à mon fils. Ma femme et moi sommes donc tombés sur Le loup qui voulait changer de couleur. C'est écrit par la même équipe qui a fait P'tit Loup. C'est l'histoire d'un loup adulte qui n'aime pas être tout noir et tente de changer de couleur par divers moyens. On peut aussi toucher certains éléments des pages (fourrure du loup, etc.) ce qui l'a rendu très populaire pour notre petit loup à nous. Ce fut notre coup de coeur littéraire catégorie littérature enfantine. Et le sien ausi, il semblerait.
Wednesday, 3 January 2018
Snickers & Almonds
I bought this Snickers bar twp days ago at the airport. You can see it is just not your ordinary Snickers bar. It is bigger, for one, as it is a two pack. It is also a Snickers Almond Bar. I have been wanting totry them for ages and I have been unable to find any in England. I even bought two to make sure I would enjoy it again if I liked it.For me, Snickers is the quintessential comforting chocolate bar and, since it has nuts in it, it is sort of nutritional too, at least to some degree. I never feel completely guilty munching one. So what is the verdict for this variation? I really loved it! Not as much as the one with hazelnuts, which is my current favourite, but tastier than the normal one with peanuts (which I still like). Almonds, like hazelnuts, give the bar a certain air and taste of snobbery, in a good way.
Labels:
caramel,
chocolat,
chocolate,
comfort food,
dessert,
food,
gastronomie,
Snickers
Le vent qui écorne les boeufs
Mon père a cette expression qu'il utilise depuis toujours lorsqu'il vente très fort: "Il vente à écorner les boeufs." Prononcer "beû" en mettant de l'emphase ça fait plus dramatique et surtout plus descriptif. Or, exactement c'est ce qui se passe depuis la nuit dernière: il y a un vent très fort comme on en voit rarement ailleurs qu'ici. Assez fort pour avoir fait tomber un pan de la clôture de notre voisin, celle qui jouxte notre jardin. Ce qui ne m'arrange pas pour bien des raisons: sans être en mauvais termes, je ne les aime guère et, bien que ça veut dire que c'est leur responsabilité de la réparer et que je ne débourserai pas un sou, ça veut aussi dire que je vais devoir attendre qu'ils le fassent. J'espère qu'ils le feront dans les plus brefs délais. Et le vent qui ne semble pas vouloir se calmer, je me demande s'il faut s'attendre à d'autres dommages. Mon retour en Angleterre est devenu assez pénible.
Tuesday, 2 January 2018
Jetlaaaaggged...
This is my feeling exactly at the moment. I am back in England since this morning, after a delayed flight and am suffering from the jet lag. Or rather, I am jetlaaaaaggged: feeling like I am walking through cotton wool, speech is slurred, vision not exactly blurry but feeling blurry all the same. Mixed with the homesickness and the post-Christmas blues, this is a potent and nasty cocktail that will keep me "hungover" (metaphorically speaking) for weeks. Nobody likes jet lags of course, but I hate them even more, because I feel so darn helpless about them.
Labels:
Angleterre,
Christmas,
England,
holidays,
homesickness,
mal du pays,
melancholia,
mélancolie,
Noël,
Québec,
UK,
vacances
Célébrer au Red Champagne
Je ne sais pas trop ce qui m'a pris pour la veille du Jour de l'An, mais j'ai pensé que ça serait drôle de l'attendre en sirotant du Red Champagne, que j'avais acheté la veille par regain de curiosité. Pas que je ne sache pas ce que ça goûte: je le sais et je n'aime pas vraiment, quoique je crois que ça soit buvable dans certaines circonstances. Voire ce billet pour une critique plus complète du goût du Red Champagne et de mon expérience initiale. Je me disais justement que les circonstances s'y prêtaient bien. Je n'ai pas réussi à boire la bouteille au complet. Trop sucré, trop... rouge. Morale de l'histoire: c'était peut-être pas une bonne idée. Cela dit, je compte réessayer d'autres produits embouteillés par la même compagnie, pour des raisons nostalgiques, mais ça sera le sujet d'un autre billet.
Labels:
New Year,
nouvel an,
Québec,
Red Champagne,
Saguenay,
Saguenay-Lac-Saint-Jean
Monday, 1 January 2018
Farewell to winter
This picture was taken from the plane when we wre leaving Montreal to the Saguenay region. It was far more impressive and wintery in Saguenay, but all the same it is snowy enough to call this picture seasonal. We were lucky to have a proper winter in Montreal this year. But soon, we will have to say farewell to this snowy winter and go back to the grey season they have in England this time of year. I feel homesick already. Going back to Québec is always a bit stressful, this is far less so, but going back to our everyday life makes us all feel a bit deflated. In any case, I will miss this snowy winter.
Labels:
hiver,
homesickness,
mal du pays,
melancholia,
mélancolie,
Montréal,
neige,
Québec,
saisons,
seasons,
snow,
winter
Bonne année, bonne santé, etc.
La citation complète quand j'étais jeune était: ``bonne année, bonne santé, du succès dans tes études, du succès dans tes amours`` et on rajoutait parfois ``et le paradis à la fin de tes jours`` Je détestais cette formule, mais elle me vient toujours en tête à chaque nouvel an. Une des nombreuses raisons qui fait que, le Jour de l'An, très peu pour moi merci. Mais enfin bref, nous sommes en 2018, je vous souhaite plus simplement une bonne année 2018.
Subscribe to:
Posts (Atom)