Wednesday, 31 May 2017
Ending May
I hope you will forget me for stating the obvious: May is about to end. I have ambivalent feelings about this month. It is a transitory one between spring and summer, it can have the best as well as the worst of either of them. Which is exactly what happened this year here: May started as a cold spring, then a warm summer, then a too hot summer, to come back to something more bearable. And now I am waiting for summertime with both impatience and dread. And you, what do you think of May? How did you experience this one?
Red Light sur ma liste de lectures
Petite nouvelle pas super récente sur le polar québécois: j'ai appris l'existence d'un roman noir québécois, Red Light-Tome 1: Adieu Mignonne, de Marie-Ève Bourassa. Ayant pour (anti)héros un détective privé malgré lui/qui n'en est pas un, Eugène Duchamp, ça se passe dans le Montréal des années 20 et c'est semble-t-il très glauque. Lire la critique de La Presse ici. J'ai appris que le livre avait gagné le prix Arthur Ellis du meilleur roman policier en français. Je félicite l'auteure et je mets son bouquin sur ma liste de lectures drelà. Bon, faudra l'acheter d'abord ou le recevoir comme cadeau. Mais je vais le lire tôt ou tard, c'est certain.
Tuesday, 30 May 2017
The return of the mayflies
The mayflies are back since a few days. There are swarms everywhere, patches of them flying when you walk by. Just when May is about to end. Of course, they will not leave with the month. I guess they never stay for long, so I should not complain, but just the same: I hate mayflies.
Réflexion sur un ancien prof de religion
Petite histoire, vieille nouvelle que j'ai apprise il y a quelques mois et qui me hante un peu depuis. Je voulais bloguer sur le sujet, mais je ne savais pas trop comment le faire sans paraître cruel. Enfin bref, pour faire une histoire courte, mes lecteurs se rappellent peut-être de ma bête noire du secondaire, un prof de religion sur lequel j'ai blogué d'abord en 2008, puis en 2011. C'était peut-être le pire prof que j'ai eu. Il n'était pas méchant, enfin pas beaucoup, mais c'était un catholique ignare, qui pouvait à peine enseigner le bêtisier de son catéchisme. C'est le seul prof qui m'ait mis à la porte d'un cours, quand même le petit dévôt que j'étais s'était mis à rire de lui tant je trouvais ses cours d'une vacuité abrutissante. Il était un brin démago, ce qui faisait qu'il était populaire chez les élèves. Il avait l'habitude de nous expliquer les paraboles et les miracles de la Bible avec des exemples contemporains "dans ta réalité à toi". Les quatre évangélistes? Comme un show rock couvert par quatre journalistes an Centre Georges Vézina. Le doute de Saint Thomas? Comme ton cousin qui doute que matante Monique soit vraiment allée en Floride. Je n'invente rien. Des heures d'inepties. Et de mauvaises foi en plus: quand je l'avais corrigé sur une faute d'orthographe vraiment bête, il m'avait dit que je disais ça parce que j'aimais m'obstiner. Il était stupide et lâche. Relire mon billet de 2011 à ce sujet. Je n'en décolère pas.
Et tout ça pour dire que j'ai récemment appris qu'il était décédé en 2002. À 55 ans, pas à bout d'âge. Et...? est-ce que je regrette ce que j'ai dit de lui et ce que je viens d'écrire plus haut? Même pas. Et c'est ce que je trouve tragique dans sa mort, c'est qu'en bout de ligne elle sera celle d'un mauvais prof qui a en enseignant une mauvaise matière et a contribué à l'atrophie du sens critique des élèves à qui il a enseigné. Il était sans doute un mari et un père aimant, mais on peut dire ça de n'importe qui. J'ai appris il y a plusieurs années, quelques mois après sa mort en fait (je vous raconterai un jour comment) que le malheur ne rend pas les gens meilleurs. Sa mort, sans doute tragique, ça n'a rien fait pour changer la démagogie et la bigoterie toute catholique de ses cours.
Et tout ça pour dire que j'ai récemment appris qu'il était décédé en 2002. À 55 ans, pas à bout d'âge. Et...? est-ce que je regrette ce que j'ai dit de lui et ce que je viens d'écrire plus haut? Même pas. Et c'est ce que je trouve tragique dans sa mort, c'est qu'en bout de ligne elle sera celle d'un mauvais prof qui a en enseignant une mauvaise matière et a contribué à l'atrophie du sens critique des élèves à qui il a enseigné. Il était sans doute un mari et un père aimant, mais on peut dire ça de n'importe qui. J'ai appris il y a plusieurs années, quelques mois après sa mort en fait (je vous raconterai un jour comment) que le malheur ne rend pas les gens meilleurs. Sa mort, sans doute tragique, ça n'a rien fait pour changer la démagogie et la bigoterie toute catholique de ses cours.
Labels:
Catholicism,
catholicisme,
école,
éducation,
nostalgia,
nostalgie,
religion,
school
Monday, 29 May 2017
Spooky drawing from a spooky child
Recently, Blonde Tickler gave me the sweetest present: this drawing, which she has done especially for me.No but how adorable is she, and how much does she know me and share my love for Halloween, so much so that about five months away from our favourite holiday, she still draw this! What surprised me the most is that it has an uncanny resemblance to what my brothers and I used to draw in our spare time at her age. Pictures of haunted houses, forests, graveyards, castles, all full of ghosts, witches, gruesome devils, etc. And like her we draw them months in advance. So this takes me back from my childhood.
Les lémuriens
Photo prise à Branféré, comme d'habitude je la mets ici car elle sert mon propos. On y voit des lémuriens. Je ne savais rien d'eux, sauf que le nom dérivait de lémure, les fantômes de la mythologie romaine. Ce qui aurait été déjà une raison suffisante pour s'y intéresser. Or, il y a quelques semaines, mes beaux-parents ont visité un autre zoo durant leur séjour en Angleterre et ont acheté à leur petit-fils un toutou de lémurien. Pas mal plus mignon que ceux-là, avec une bouille plus affectueuse, mais enfin bref, c'est je crois son toutou préféré avec Renard. Alors je vais me mettre à m'instruire sur les lémuriens.
Sunday, 28 May 2017
Jamaica Farewell
By any practical means (and that it might change notwithstanding) summer is here now: it is hot, it is sunny, it is nice... And that means for me listening to summery music. In other words, I often listen to Harry Belafonte these days. I listen to Belafonte as soon as it is hot outside since my twenties. My brothers and I spent many summer evenings listening to him. So tonight I decided to share Jamaica Farewell. Because summertime and the island of the West Indies have their own kind of melancholy.
Labels:
chanson,
été,
Harry Belafonte,
Jamaica,
Jamaica Farewell,
melancholia,
mélancolie,
music,
musique,
saisons,
seasons,
song,
Summer
Les bons et les moins bons voisins
Nous sommes dans un petit voisinage tranquille, en retrait de ce qu'on pourrait appeler le centre-ville, si la ville était plus grande qu'elle est. C'est en fait au plus un gros village. Nos voisins sont pour la plupart des personnes âgées fort agréables, toutes gentilles quand on se promène avec petit loup. Puis il y a aussi une famille presqu'aussi jeune que la nôtre, avec un bébé quatre mois plus vieux que notre fils. Je ne les connais pas beaucoup, mais la mère est toujours chaleureuse avec nous. Et il y en a quelques autres, comme ce soir, qui font jouer la musique dans le prélard à deux maisons d'ici parce que demain c'est un jour férié. On avait des voisins bruyants comme ça à Chicoutimi, juste en arrière. En plus, ils avaient une prononciation disons-le approximative (lire cette anecdote). Des voisins pas de classe, comme disait PJ. Bon, j'ai eu pire, mais quand même, j'aimerais en avoir des moins bruyants des fois. Et je commence à me demander si on n'en aura pas d'autres difficiles: nos voisins immédiats ont mis leur maison en vente.
The Tarasque
Before I read this (because it ha snot arrived yet), I have started reading another book which had been gathering dust on my bookshelves for far too long. Believe it or not, I bought it back in 2001, in Provence, and I have not read it once. I think I had kept it for my next time there, which never happened. Now the book is about myths and legends from there, as you can easily tell even if you do not understand French, but I mainly bought it eager to know more about the Tarasque, a sort of dragon (or a dragon cousin) that is the emblematic monster of Provence and who terrorized the place back in the old days. You can see a statue of the mythical monster on the front cover. I knew about the Tarasque since childhood, but my knowledge of the beast never developed as much as I wanted. I intend to become a specialist of the Tarasque this summer, that is my objective. And then I will be able to tell new stories to the Ticklers and eventually my son.
Le long de la rivière
Photo prise à Totnes dans le Devon, que je télécharge ici car elle sert mon propos. Nous sommes une fin de semaine de trois jours et il fait assez beau, bien qu'on prévoit de la pluie (et de l'orage), alors je suis tenté de faire une promenade en famille le long de la rivière. L'Angleterre a ça de bon: elle a pleins d'endroits magnifiques pour des promenades. Mais comme il y a bien des choses à faire à la maison qu'on ne peut pas remettre indéfiniment, je crois que ça ne sera malheureusement pas possible.
Saturday, 27 May 2017
Calvin's summertime wisdom
It is not technically summer yet, but it feels summery enough and this is a bank holiday weekend, so now is a good excuse as any to publish this strip from Calvin and Hobbes. Back when I was much younger and summer was a long holiday, I welcomed it. And this is pretty much how I felt about it.
La mort du Cornichon
Je le craignais depuis que j'y suis allé pour la première fois, mais enfin bref j'ai appris récemment de leur page Facebook (que je ne retrouve plus) que le restaurant Le Cornichon au coin Chambord et Mont-Royal allait fermer ses portes. J'imagine que son aventure est déjà terminée. Je l'avais presque prédit lorsque j'ai blogué à son sujet pour la première fois en février 2014. Ce n'était pas le meilleur restaurant de Montréal ou du Plateau, mais c'était honnête, son club sandwich était fort mangeable (voir la photo) et remplissait son homme (voir encore une fois la photo) et le personnel était toujours chaleureux. Surtout, c'était proche du repaire familial, alors quand on avait faim et qu'on n'avait pas le goût de faire à manger, c'était idéal. Ce qui est tragique, c'est que son successeur ne fera sans doute pas long feu non plus. Et j'espère juste que ce sera encore un bistro, pas un restaurant de sushis.
Friday, 26 May 2017
Criminal summer
It looks and feels more and more like summer and I am finally having a better idea of what I will read for the season. There should be a good deal of adventures and crime fiction. Although I read crime fiction all year round, I read surprisingly little so far this year and well, it's might be a reader's cliché to read this sort of genre during summertime, but it does fit the season nicely. And what better way to start it than by reading South African's most famous crime writer Deon Meyer. There is just something about blood and violence in the implacable heat and sun of the African continent. So I have ordered and intend to start Dead Before Dying in the upcoming days. It is his first novel and the only one published in English that I have not read. Anyway, I am looking forward to it and will try to blog about it.
Labels:
Africa,
Afrique,
books,
crime fiction,
Dead Before Dying,
Deon Meyer,
été,
littérature policière,
livre,
livres,
saisons,
seasons,
South Africa,
Summer
Espérer l'orage...
Bon, ce n'est peut-être pas tout à fait la canicule ces jours-ci, mais c'est tout comme: il fait assez chaud et c'est assez collant pour que je me sente en pleine canicule. Et l'air climatisé ne marchait pas dans ma section du bureau à l'ouvrage, calvaire. On annonçait de l'orage il y a quelques semaines. Il n'est jamais arrivé. On en annonce encore de manière imminente. J'ai hâte de le voir et de l'entendre. Ça sera le premier orage de la saison estivale, celui qui baptise l'été, comme je le dis souvent.
Thursday, 25 May 2017
Fitbit addiction
As my readership knows, I recently bought myself, in a rare moment of retail therapy, a Fitbit. expensive, state of the art, gunmetal stainless steal coloured (yes, that thing is elegant) Fitbit. I, who don't do any sport and barely any physical activities. So I set it up and since then I have been addicted to it. I am barely scraping its functionalities, but the little I use it for, I wouldn't depart from it for an empire. I check the number of steps I take in a day, the calories I burn and before bed I do relaxing breathing exercises with it. Oh, and it tells time too. I have no intention to turn Vraie Fiction into a fitness blog, I find people who obsess about fitness both tedious and often insecure, but the Fitbit will be mentioned again from time to time, as I discover it.
Le temps de la bière blonde
Photo prise à La Voie Maltée de Chicoutimi en janvier 2014. Je la publie parce qu'elle sert mon propos. Je ne me rappelle plus c'est laquelle de leurs bières, mais fait remarquable, c'est une blonde. Je bois assez rarement des bières blondes, je les trouve en général insipides. Je ne sais pas trop ce qui m'a pris à boire celle-là. Maid ces temps-ci, il fait chaud, alors je vais sans doute bientôt faire une exception et me mettre un peu plus souvent à la blonde. C'est vraiment lorsqu'il fait chaud qu'on les apprécie plus, autrement on est dans le déni et on n'a aucune excuse pour en boire.
Wednesday, 24 May 2017
Reading plans
Last weekend, I finished reading a novel. I will not tell you which one I read, it will be a surprise for a future post. A few weeks ago, I could not choose what to read, so I picked up the two books that were interesting me the most and asked Blonde Tickler who was visiting us with her parents which one I should choose. So she decided for me. When you cannot decide, surrendering to the ideas of a child is a way like any other to go forward with things. But it means that I will soon need to choose a new book to read. New books in fact, for the weeks and months ahead. Seasonal books, as I read seasonal. And, believe it or not, but I found my bookshelves somewhat deprived in summery books. I will however try to behave and read what I have yet to read here, before buying more. Right now, I am getting through some plays until I decide of some longer work. Then I don't know. I might ask Blonde Tickler again.
Le rythme des choses
Comme mon lectorat fidèle le sait déjà (et si vous n'êtes pas membre de mon lectorat fidèle, vous devriez), on m'a informellement offert un nouveau travail. Après quelques discussions avec le recruteur et mes futurs employeurs, nous avons décidé du moment opportun pour commencer et je peux maintenant annocer que j'ai reçu l'offre formelle ce soir par écrit. Après la semaine et demie environ d'attente, ça me fait un bien immense et ça calme mes angoisses. L'attente est toujours un peu angoissante pour moi, même quand je sais que je vais avoir l'emploi. Mon nouveau travail sera dans une plus petite compagnie, dans un plus petit bâtiment aussi, dans une ville tout aussi moche, mais le voisinage immédiat de mon lieu de travail est un tantinet plus esthétique. Alors j'ai hâte. Ça me fera du bien de changer d'air, dans tous les cas.
Tuesday, 23 May 2017
And now Manchester...
I am sick and tired of this! I hesitated before writing about it, I wanted to avoid clichés, commonplaces, the avalanche of empty words you probably all heard and read. But this is Manchester we are talking about and Manchester has a special place in my heart. I have only been to the city a few times, but for me it is a place of pilgrimage. My favourite writer is from Manchester. So are many English actors I admire. Some of my favourite TV series are set in Manchester. Intellectually and culturally, Manchester is for me the epitome of what is right and good about England. And there are the people. Northern, warm, friendly like they are up there. I am a Northerner from another shore, so I always felt a certain kinship with Mancunians. I have made friends with many of them through the years. And now Manchester, like many cities in the West, has fallen victim of Islamism. You know the excuses you will hear: Western decadence, the carefree appetites for life of the Brits, in this particular case young girls and teenage girls committing the unforgivable sin of going to a pop concert in a desegregated society. So to Hell with the sick, twisted pig who did this cowardly act of devotion. There is nothing else I can do but to say that I stand with all my heart with my Northern friends. This may not bring anyone solace, but if you were attacked, it is also because you are an admirable, lovable lot.
Labels:
Angleterre,
England,
fondamentalisme,
fundamentalism,
Islam,
islamisme,
Manchester,
religion,
Royaume Uni,
UK
PJ à Aux vivres?
Stupeur hier lorsque j'ai lu le commentaire de mon frère PJ sur ce billet: il est allé manger à Aux Vivres. Mon frère mangeur de viande invétéré, dans un restaurant végétalien. J'en suis tombé en bas de ma chaise. Le dernier repas que j'y ai mangé, ce sont ces BLT au coconut, qui m'avaient un peu déçu, je ne sais pas trop pourquoi, parce que j'en avais un meilleur souvenir. Mais bon, c'est quand même vous dire à quel point le menu est bon si mon frère y est allé.
Labels:
Aux Vivres,
BLT,
comfort food,
famille,
family,
food,
gastronomie,
Montréal,
restaurants,
sandwich,
vegetarianism,
végétarisme
Monday, 22 May 2017
The sandwiches at Greggs
I had wanted to blog about it a while ago, but never got round to it until now. Anyway, our little posh town last year (I think it was last year) got a Greggs counter in one of our petrol station. Sometimes, you don't need much to be happy, or at least to be contented. And this is what happens when I eat something from Greggs. It is one of my guilty pleasures. So when I am both hungry and lazy, I buy myself a tuna sub like the one you see on the picture. This goes way back and it has something to do with my first time in England as a resident. Back in 1999, when I came here to do my Master degree, my very first lunch in England was a tuna sandwich from Greggs. At that time, it was a tuna sandwich and the bread was a bloomer, but still. Nothing tastes like comfort and security like these. So every time I eat a sandwich from there, I think about that first lunch.
Labels:
Angleterre,
comfort food,
England,
fish,
food,
gastronomie,
Greggs,
nostalgia,
nostalgie,
poisson,
sandwich,
thon,
tuna
Question existentielle (305)
C'est la Journée nationale des patriotes au Québec, sur laquelle j'ai déjà blogué ici et là. Je n'ai jamais trop su comment célébrer ou commémorer la fête, alors je me pose cette question existentielle:
-Comment célébrer la Journée nationale des patriotes?
Ironiquement, je l'ai vraiment célébrée une fois. Dans toute ma vie. C'était bien, mais c'est pour un autre billet.
-Comment célébrer la Journée nationale des patriotes?
Ironiquement, je l'ai vraiment célébrée une fois. Dans toute ma vie. C'était bien, mais c'est pour un autre billet.
Sunday, 21 May 2017
Blogging in the garden...
Quick blog post about a way of blogging entirely new to me, and which I am doing live at the moment: I am currently typing this post in the garden, as it is finally warm and sunny enough to enjoy the garden. I am sitting on the chairs from the Mountain Warehouse, little Wolfie is asleep in his pram, it is absolutely lovely. If it was not from the shades I am wearing it would be the perfect way. As I cannot see my screen very well I will keep it short and read a book instead. But suffice to say that I intend to do more of this now that we have our own garden. Instead of guerilla blogging, it will be... well, you tell me what kind of blogging it will be. But it is quite fun.
Labels:
blogging,
blogue,
garden,
jardin,
Mountain Warehouse,
température,
Weather
Le temps du hockey-bottine
J'ai déjà publié cette photo et il y a peu de temps, mais je l'utilise à nouveau parce que 1)ça sert mon propos et 2)je croyais en avoir une deuxième du bâton de hockey de mon fils mais je ne la trouve pas. Enfin bref, l'hiver terminé, c'est le temps du hockey-bottine au Québec: quand les enfants jouent au hockey dans la rue avec une balle de tennis en guise de rondelle. On peut jouer au hockey bottine à toutes les saisons, mais c'est plus surréaliste l'hiver terminé. Je n'en ai fait qu'à quelques occasions étant enfant, mais je compte bien le faire plus souvent avec petit loup, même si je trouve son bâton et la balle/rondelle qui va avec un peu trop jolis pour les salir et risquer de les briser en jouant dehors. Ce sera un spectacle assez inhabituel ici. Le hockey-bottine, c'est une activité qui, sans y être un signe exclusif, donne un peu de sa spécificité au Québec.
Saturday, 20 May 2017
Missing pub in the park
This weekend, our little town/big village is having a special "pub in the park" event in its main park. There is gourmet food, real ales, other alcohol, music, apparently plenty of atmosphere and beer and did I say there was beer? Had they done it years before, my wife and I may have been tempted to attend, although the tickets for the event are not cheap. But not this year, for obvious reasons. I would have been tempted to go to discover new beers from microbreweries and enjoy those I already know, but yesterday I thought I would not miss all that much. On the journey back home, the train was jammed with people going and they were already drinking (gin mostly). So I suspect it is going to be a piss up, just like when there is the regatta. So not only we are not going, but we decided to avoid both the town center and the park for the weekend.
Labels:
beer,
bière,
microbrasserie,
microbrewery,
parc,
park,
pub,
pubs,
real ales
Montréal vu par François Pérusse
Je reviens sur le 375e anniversaire de Montréal avec une chanson parodique sortie lors du 350e. Je sais, je devrait peut-être commencer avec un hommage plus appuyé, mais elle aurait pu avoir été inventée hier. Parfois, je me demande si cette chanson de François Pérusse n'est pas le véritable hymne de Montréal. Quand l'Album du peuple Tome 2 est sorti, j'avais quinze ans et, si j'avais souvent visité Montréal, ce n'était pas encore ma ville d'adoption et je ne me sentais pas vraiment d'affinités avec elle. Je n'y étais pas encore chez moi. Maintenant je reconnais beaucoup de mon expérience de Montréalais (même expatrié) dans cette chanson, parodiée de Charlebois. Ah oui, et il y a le gars qui magazine en prime après...
Labels:
anniversaire,
anniversary,
birthday,
chanson,
fête,
François Pérusse,
histoire,
history,
humour,
Montréal,
music,
musique,
Robert Charlebois,
song
Friday, 19 May 2017
Mysterious tie
Sometimes I notice the most trivial thing and turn it into a blog post. Like now. A few days ago, I was walking back home, I was just leaving the train station when I saw this tie hanging from the metal fence by the business park. Kind of fuchsia pink with blue leafs motifs. And I have kept asking myself since then: who the heck hung it there and why? Okay so it is a bit too colourful for me, but it was around someone's neck, so surely he (although I guess it might be a she) thought it looked good enough to wear. And it was not a hot day so it is unlikely that it was taken off and dropped by mistake. So it is a complete mystery. Moral of the story: sometimes I have time to waste. Seriously.
375 ans
Je ne l'ai pas encore souligné ici, mais je voulais le faire: Montréal fête depuis le 17 mai son 375e anniversaire de fondation! Je veux revenir là dessus au cours des prochains jours en détails, et rendre hommage à ma ville. Car je me sens comme bien des Bleuets expatriés un Montréalais d'adoption. Et je sais que ma ville a des défauts et que certaines controverses entourent déjà le 375e. Ce soir, je me contenterai de dire bonne fête Montréal.
Labels:
anniversaire,
anniversary,
birthday,
fête,
histoire,
history,
Montréal
Thursday, 18 May 2017
Holidays in the Lake District?
My mother recently heard about the Lake District from some friends and has decided that she wants to see it. So my parents are thinking about coming around September. And this is when my wife had a brilliant suggestion: we could rent a cottage big enough and all go as a family. This means little Wolfie would be able to spend precious times with grandparents he does not see in person very often and our little family here could have a true holiday, not merely a staycation, in a place we have not seen since 2010, when I really fell in love with it. And also, the cherry on the sundae: they would be autumnal holidays. Which is as you know my favourite season, and incidentally my mother's too. That she is planning for a visit at around this time is no incidental. The Lake District is beautiful at any time, but must be gorgeous in autumn. Of course nothing is set in stone, but I will have then been working on my new job for a while (if everything goes well) and Wolfie will be old enough to go on longer journeys. So I don't want to count my eggs before they hatch, but we still have a few years when we can take autumnal holidays, so it is a great project.
Labels:
Angleterre,
automne,
autumn,
childhood,
enfance,
England,
famille,
family,
holidays,
Lake District,
Royaume Uni,
saisons,
seasons,
UK,
vacances
Des hérissons en peluche
J'ai vu ces hérissons au May Fayre (foire de mai? les Anglais sont forts des foires) et j'ai voulu en acheter un pour petit loup. Il aime pas mal tous les animaux, et pas seulement en peluche, mais j'aime bien avoir du matériel pour construire son vocabulaire. Malheureusement, ils n'étaient pas à vendre. Ces hérissons sont en fait offerts gratuitements si l'on fait un don à une organisation caritative environnementale et qu'on s'abonne à un magazine. J'ai beau aimer (non: adorer) la vie sauvage britannique, je suis déjà assez souvent sollicité pour ce genre de choses, alors j'ai passé mon tour. Je trouverai le hérisson de petit loup plus tard. Mais j'ai quand même pris le temps de prendre une photo.
Wednesday, 17 May 2017
Crowmarsh
There is something I love about England and it is the many great names one can find in the smallest places. You know how much I love the town of Wallingford. Well, I now discovered that the village opposite Wallingford, on the other side of the River Thames, is called Crowmarsh Gifford, or Crowmarsh for short. Now that is a name! Very much like Crowthorne, which I love a lot. it has crow, the dark and bird of bad omen, and it has marsh, a menacing and dangerous place, full of muddy water and eerie creatures. The name itself is very menacing and evocative. It belongs to a scary story or a D&Dr setting. Again, like Crowthorne. And just like Crowthorne, I have been through Crowmarsh a number of times without even stopping there. And until yesterday, I did not even know its name. Now I intend to correct this one day and visit the village.
Garder notre pied-à-terre
Comme mon lectorat sait, mes parents ont un condo sur le Plateau Mont-Royal, depuis plus de dix ans. C'est le pied-à-terre (attention: ceci est notre mot du jour) de toute la famille. Jusqu'à relativement récemment, il était habité par mon plus jeune frère Andrew, mais depuis qu'il vit avec sa blonde, il n'y va plus qu'épisodiquement. Mais c'est quand même notre chez-nous montréalais. Or, ma mère a récemment reçu un courriel d'une propriétaire dans le bloc qui serait intéressée à l'acheter, parce qu'elle vend son condo et qu'elle veut demeurer dans le coin, aimant le Plateau et sa fille allant à l'école pas loin et tout ça. Mon père nous a transmis le courriel en nous demandant quoi répondre selon nous. La réponse de mes frères et de moi a été catégorique: ce fut non. On en a besoin. De ce côté-ci de l'Atlantique, ça nous facilite la vie grandement quand on voyage, alors même ma femme, qui d'habitude ne se mêle pas des affaires de ses beaux-parents, m'a fait savoir à quel point c'était une mauvaise idée. C'est anecdotique, mais cette histoire m'a un peu inquiété. J'y suis attaché, au condo et là je vois que quelque chose que je prenais pour acquis pourrait un jour être perdu. Mais ma mère nous a rassuré en nous écrivant qu'elle et mon père n'avaient aucune intention de le vendre. On respire.
Labels:
famille,
family,
home,
home sweet home,
maison,
Montréal,
mot du jour,
Plateau Mont-Royal,
word of the day
Monday, 15 May 2017
Touch wood...
As my French readers know already, I might have a new job already, after this one finishes, if everything goes well. I had an interview last week, the easiest one I ever had, and it went very well. So much so in fact that they said at the end of it that they were going to offer me the job. They did so, officiously, but I will wait until I receive a formal offer and sort out the transition from one to the other to celebrate. At the moment, I am touching wood. I don't want to jinx anything. But I am fairly confident. Like I said, I never had such an easy interview. It lasted two hours and a half instead of two and in the end we were already discussing where my desk would be (I chose something facing a window). As for the job itself, without giving too many details now, it will be a lot of work and responsibilities, but also it will make me progress professionally. And the commute should improve slightly. So I am very eager to start.
Lumière (la photo du mois)
C'est encore une fois le temps de la photo du mois. Le thème était Lumière (choisi par Eurydice), ce fut simple. Ayant déjà publié celle-ci (et tu parles d'une occasion ratée!), je publie donc cette photo-là, prise à York Minster.
Allez voir les autres ici:
Akaieric, Alban, Alexinparis, Amartia, Angélique, Aude, Autour de Cia, BiGBuGS, Blogoth67, Brindille, Calamonique, Carole en Australie, Chat bleu, Chiffons and Co, Christophe, Cricriyom from Paris, CécileP, Céline in Paris, Danièle.B, DelphineF, E, El Padawan, Escribouillages, Eurydice, Evasion Conseil, François le Niçois, Frédéric, Gilsoub, J'habite à Waterford, Josette, Josiane, Julie, Kellya, KK-huète En Bretannie, Krn, La Fille de l'Air, La Suryquoise, La Tribu de Chacha, Lair_co, Lau* des montagnes, Laulinea, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Lilousoleil, Lyonelk, magda627, Magouille, Mamysoren, Mirovinben, Morgane Byloos Photography, Nanouk, Natpiment, Nicky, Pat, Paul Marguerite, Philae, Philisine Cave, Pichipichi Japon, Pilisi, Renepaulhenry, Sous mon arbre, Testinaute, Tuxana, Ventsetvoyages, Who cares?, Xoliv', écri'turbulente.
Labels:
La photo du mois,
Mai,
May,
York,
York Minster,
Yorkshire
Sunday, 14 May 2017
Happy Birthday Cate!
The great Cate Blanchett turned 48 today. She does not look a day older than when I first saw her in Elizabeth. This was for me a revelation and I started following her career ever since and became a huge fan. She is still, in my humble opinion (but then I do know a thing or two about acting), the greatest actress alive and maybe of all time. So all hail to the greatest.
Cadeau de Fête des mères
Bonne Fêtes des mères à toutes les mamans du monde et à leurs enfants! J'ai tenté de trouver une photo pour accompagner ce billet, mais je n'ai pas trouvé. C'est une Fête des Mères différente aujourd'hui, étant papa d'un jeune garçon de huit mois. J'ai fait du Facetime avec ma mère qui était contente de voir son petit-fils. Je crois que c'était le meilleur cadeau possible. Pour ma femme, ce fut des chocolats. Il faut dire qu'ici, elle est fêtée plus tôt.
Labels:
childhood,
enfance,
famille,
family,
Fête des Mères,
Mother's Day
Saturday, 13 May 2017
Nadsaturday
Labels:
A Clockwork Orange,
anniversaire,
anniversary,
Anthony Burgess,
books,
film,
livre,
livres,
movie,
samedi,
Saturday,
Stanley Kubrick
Voir dans le temps
Si ce billet ressemble à un autre que vous avez lu, c'est parce que c'est le cas. Je regardais les photos prises au York Castle Museum et je suis retombé sur celles où l'on a l'impression de marcher à travers et de voir York à l'époque victorienne. Enfin je crois que c'est bien l'époque victorienne. Tout bien pensé, sans être LE musée que je préfère, il est pas mal en haut de la liste rien que pour ça. On a même dû passer rapidement certaines sections du musée parce que l'on s'est attardé dans celle-ci. Je m'arrêtais à chaque vitrine ou presque. Je crois que si j'y retournais, je ne m'en lasserais pas.
Labels:
histoire,
history,
La photo du mois,
nostalgia,
nostalgie,
York,
York Castle Museum,
Yorkshire
Friday, 12 May 2017
Fish & Chips Time
It is Friday, thus fish Friday, therefore time for fish and chips. Although ironically enough I did not have fish and chips tonight. This picture was taken a few weeks ago. During Lent, I had fish and chips every week or so. I thought I'd be saturated, and I was... Until now. I am really hungry for them again, the quintessential comfort food. You can have fish and chips in pubs and restaurants, but I prefer them from a chips bar like this one, with lots of malt vinegar. Talking of malt vinegar this is what I answered to the woman at the till when she asked how much of it I wanted on my cod: "As long as it can swim in it, I'm happy." I think this deserves to be a great unknown line. Anyway, I encourage everyone to eat fish and chips, Friday or any other day.
Dithyrambique (mot du jour)
Le mot du jour et de la semaine est dithyrambique. Ce qui veut dire: "Très élogieux, d'un enthousiasme emphatique, outré." Par exemple, les commentaires que j'ai eu après une entrevue d'emploi que j'ai passée cette semaine. À un point tel en fait qu'on ne me fera passer de seconde entrevue et qu'on m'a offert le travail à la fin de celle-ci. J'ai même pu dire quel bureau j'aimerais avoir. Rien que ça. Je reste prudent avant de recevoir une offre formelle d'embauche, mais je crois que je l'ai. L'entrevue a été d'une désarmante facilité, elle a duré deux heures et un peu plus au lieu d'une seule et je me suis vite rendu compte que j'étais parfaitement taillé pour la position. Après les semaines difficiles que je viens de passer avec l'incertitude et tout, ça fait comme un petit velour.
Thursday, 11 May 2017
Wolfie's attitude
My wife was recently telling me that I don't blog all that much about our son, what kind of a baby he is and what he likes and dislikes. I do think I blog about him fairly often, directly or indirectly, but it is difficult to take every single moment and turn it into a post. But I will try to correct this and spend more time talking about him and his personality. Because even though he is only nearly eight months old, he already has distinctive character. Tonight my own father thought that he really had something of me, and I think he meant more his demeanor than his look. Wolfie smiles and cries like every baby, of course, but he has a very distinctive mischievous smile and a naughty side: he kicks, punches, bites fingers and pulls hair, then laughs when you shout"ouch!" With eyes that seem to say: "Go on, sucker, you know I'm adorable". Sometimes I think he is smarter than us by half. And, while he does not say a distinct word yet, he does "speaks" quite a lot. So young, and already full of attitude.
Le temps des cornichons
J'ai oublié de parler d'une des choses que je ne manque jamais du marché français: les cornichons. J'en prend toujours une boîte, comme pour les olives. À l'apéritif, c'est un incontournable.
Labels:
comfort food,
cornichons,
food,
France,
French market,
gastronomie,
marché français,
pickles
Wednesday, 10 May 2017
To read during the long train journey
I took this picture in the special steamed train line they have between Totnes and Buckfastleigh in Devon and I am sharing it here because it illustrates my post. So anyway, as you know last week I went to an interview at a company's headquarters about three hours away in train. In the end, I did not get the job, although I think I got fairly close. But on the plus side, once the die had been cast, I could relax and read. I love reading during long train journeys, I find it part of the pleasure of traveling. So at least I experienced this, which I had not done in a very long while.
Un orage annoncé
Je ne sais pas si ça va arriver, mais demain il est supposé faire passablement chaud (des températures s'approchant de 20) et humide avec des précipitations et peut-être même de l'orage. Si c'est le cas, ce sera le premier orage de l'année et j'en serai très heureux. J'adore les orages. Les chances sont relativement faibles et encore hypothétiques, mais je peux me permettre d'espérer.
Tuesday, 9 May 2017
Alarm clocks and gremlins
I have two alarm clocks: one that has been with me since I am 19 and one that I bought less than two years ago because I could not find the first one. I use them simultaneously, just in case one would not work because of low battery or old age or something. This morning, neither of the alarm clocks rang. I discovered it when I woke up by myself and feeling refreshed instead of all blurry because I am in a deep sleep and the alarms are ringing. It was 8:25. I had to take a taxi to go to work, having missed the train. I got to the office on time, or at least early enough so nobody noticed I was late. I tried them again tonight and they rang fine. So I blame the gremlins, like I always do when such inexplicable thing happens. Darn gremlins. Can you make any gremlin trap?
De pierre et de mousse...
Photo prise dans le Devon, à Dartington, je la publie car elle sert mon propos. Une fontaine avec des cygnes sculptés couverts de mousse. Une pierre figée qui amasse de la mousse. or donc, comme vous savez, je suis présentement en recherche d'emploi, même si j'ai encore pour quelques semaines ma job. Il y a un proverbe qui dit: "pierre qui roule n'amasse pas mousse." Or, il me semble que j'avais réussi pendant quelques temps, justement, à amasser de la mousse: pour moi, pour ma famille. Cela fera bientôt sept ans que je travaille pour la même compagnie. Or, c'est cette stabilité-là que je n'ai pas envie de perdre.
Monday, 8 May 2017
Stages of the Readers
I found this meme on the many Facebook pages I follow. I thought it was so good that I had to share it here. This is pretty much my life as a reader in a nutshell. I never quite experiences 5 and 6 (okay, maybe 5 a bit), but otherwise, it is spot on. I could write endless posts (and I might), about 1 and 2 (heck I used to read underneath the blanket at night like this), you can read a good deal of blog posts about 3, 4 and 8 (there is even a cat on the image!) and of course I am now experiencing 9. And you, what do you think of it and what does your life experience as a reader look like?
Mai vraiment
Chaque année, j'essaie de commettre un calembour atroce sur le mois de mai. C'est un peu pour ça que j'ai sorti ce titre vaseux à souhait. Je tiens aussi à annoncer qu'ici, après un début difficile, le mois de mai ressenble enfin au mois de mai: le temps est doux comme une fin de printemps, il fait soleil, on peut s'habiller légèrement. Mai est vraiment ici, d'où le titre. J'espère qu'il vous fait grincer des dents. Outre cela, même l'esprit automnal que j'ai se réjouit de ce mois de mai plus typique.
Sunday, 7 May 2017
Holidays in Britanny?
I took this picture in Brittany. It is a dolmen of course, which is, according to folklore, the place where Korrigans meet. My parents-in-law live in Brittany and it is at our last holidays there that I took this picture. Since little Wolfie is born, they have been wanting to greet us there again. Today, they have suggested that we go and visit them after their trip to England around July. We are very tempted, although there are a lot of things to solve before: Wolfie will need a passport, for one, and we need to know how to get from A to B to C with a baby. But if we can sort it out it would be good practice for future, longer journeys and it would be great to have Wolfie discover this land, rich of so many myths and legends that mean so much for his daddy, and spend time with his maternal grandparents.
Ouf!
Bon, on respire. Pas que je sois particulièrement convaincu qu'il ait tout à fait le coffre pour diriger la République, mais entre lui et une facho... Je suis heureux pour les cousins. Et à part ça, vous, ça va?
Saturday, 6 May 2017
Retail therapy?
Now, I don't like going to shops and I only do shopping when it is absolutely necessary, but sometimes, just sometimes, I do fall into the trap of retail therapy. Which happened today. Maybe it is because I turned 40 and thus got into middle age, but I went to buy myself a Fitbit today, with money my parents and my in-law gave me. It is one of these watches that gives you your heartbeat and tells you to get active and how many calories you burned. My wife suggested it and I thought it was a great idea. That must be mid-life crisis. Probably amplified by what's happening in my life. Still, I feel weird doing this. Usually I buy book, not bleeding expensive fancy watches. Even with money that was meant to be used to spoil myself. On the plus side, I have a really cool watch.
Un caméléon (Mosaïcultures)
Ça faisait assez longtemps que je n'avais pas téléchargé sur Vraie Fiction de photos prises par mon père aux Mosaïcultures et j'ai pensé que ce serait un moment comme un autre pour le faire. Bon, la photo est un peu floue, mais c'est quand même un impressionnant caméléon. Fait à noter: les caméléons ne changent pas de couleurs pour se camoufler, mais pour communiquer entre eux, notamment leurs émotions (lire ici). Changement de couleurs et d'états d'esprit, ça me fait penser un peu à moi ces temps-ci.
Friday, 5 May 2017
The Mozart Effect
My wife bought me a few nice presents for my 40th birthday, but she did not forget to make it also about my new status as a father. So she also bought me this book about my favourite composer and his work: Mozart, Little Musical Wonder. According to the label on the card, it was "from Wolfie," but I strongly suspect she bought it especially for Wolfie, so he can experience the Mozart effect. Which is okay, it makes me share with my son the greatest music. It is a very educational baby book: on each page you press a button to listen to bits of his work and you see funky cute animals representing opposites: tall versus short, young versus old, up versus down, etc. Very cute. And, like I said on this blog post and later on Facebook: "Not that we believe in the Mozart effect, but why take a chance?" This deserves to be a new great unknown line, I think. Anyway, the only drawback is that one can only hear part of the music, so tonight I will share one piece with you, his Clarinet Quintet. For once, a piece not taken from his operas. I hope you enjoy. Wolfie sure did. Okay, so he liked the giraffe and the monkey, but that's a start.
L'habit qui fait le moine
Photo prise au York Castle Museum et que je partage ici car elle sert mon propos. Pour la petite histoire, je cours les entrevues d,embauche depuis environ trois semaines. Ce qui veut dire que je dois porter un habit avec veston et cravate. Je déteste ça. Je me demande sincèrement l'utilité de cette convention, quand maintenant tout le monde travaille en jeans de toutes façons. Il a même fallu que j'achète un nouvel habit parce que celui que j'utilisais d'habitude commençait à se faire vieux. Rien que pour ne plus avoir à le porter, j'ai hâte d'avoir un nouvel emploi.
Thursday, 4 May 2017
Tea and Maternity
I just did an atrocious word play, but I could not resist. Mother's Day has long been gone here in the UK, but it is coming in North America. Of course, David's Tea has a special Mother's Day Collection. So far so good, you know how much I love tea in general and David's Tea's accessories. I would love to offer them to my mother or my wife. There are three problems with this: 1)I live far away from any David's Tea shop, 2)while my wife loves pink and golden stuff like on this picture, my mother does not and 3)neither my wife nor my mother love tea. In fact, they both dislike it. Although I think my wife would gladly take one of the mugs just because it looks beautiful. And pink. Now it means something else: the tea education of little Wolfie will have to be done by me, when the time comes.
Labels:
calembour,
childhood,
David's Tea,
enfance,
famille,
family,
Fête des Mères,
Montréal,
Mother's Day,
tea,
thé,
word play
Les olives vertes gratuites
Voici un nouveau billet de bouffe, qui parle encore une fois d'olives. On excusera mon manque de variété, mais le temps presse et ça faisait un bout de temps que je désirais bloguer sur le sujet. J'ai donc reçu ces olives l'année dernière, avec les compliments de l'équipe du comptoir de sandwiches où je vais parfois acheter le lunch (chaque vendredi d'habitude, mais pas exclusivement). C'est moi qui avais suggéré d'ajouter des olives vertes au menu. Ils avaient déjà des noires, mais je préfère les vertes. Ce qu'ils ont fait et comme elles ont finalement été très populaires, ils m'ont rempli une demie tasse de café en styrofoam d'olives pour me remercier. J'y pensais récemment: je ne leur ai toujours pas dit que je perdais ma job bientôt et donc qu'ils perdraient un client. Ils vont me manquer et je crois que moi aussi.
Labels:
comfort food,
food,
gastronomie,
job,
olives,
sandwich
Wednesday, 3 May 2017
More blogging coming?
For reasons stated in my previous post, I might soon get more time to blog. Job hunting and interview preparations will keep me busy, but from experience I know this kind of situation also gives you some time for blogging. I hope not too much time, which is to say I will have a new job soon enough, but anyway. I started Vraie Fiction in 2008, unemployed, and it was a creative year for me, if nothing else.
Des violettes et de la neige
Petite anecdote sans importance, ou peut-être si. Mon frère PJ m'a rappelé sur Facebook un souvenir datant de 25 ans. Or donc, le 3 mai 1992, mon père nous avait traînés, mes frères et moi, à une exposition de violettes à Jonquière. Il était tombé six pouces de neige collante la nuit d'avant. Au début de mai, même là où l'on était, on a trouvé ça dur. Jusqu'à maintenant, je ne sais toujours pas ce qui était pire: la neige ou les violettes. Parce qu'il n'y a peut-être rien de plus plate qu'une exposition de violettes. Et c'était dimanche en plus. J'ai rarement passé un dimanche plus pénible. Mon père avait le don de nous traîner dans des places plates, surtout le dimanche, cette année-là on aurait dit qu'il avait fait exprès. Morale de l'histoire: les expositions de violettes devraient être interdites en tout temps.
Monday, 1 May 2017
Reading on the railway
I took this picture at the National Railway Museum in York and I am sharing it here as it sort of illustrates this post's subject. Last year, I was wondering about my next long train journey. Well, I have my answer now: tomorrow, as I am having job interview in a company's headquarters. Do not worry: I have prepared and this blog post is being written when I am having a break from all the planning. But overall, everything is ready (and yes, I am nervous nevertheless). But that also means that I will be traveling long hours. Which will give me plenty of time to read, especially on the way back. I am not looking forward to all that traveling in one day and I will miss my family sorely, but at least it will give me an opportunity to read a lot. And I love to read in a train. It will be my treat.
Question existentielle (304)
Nous sommes le premier mai, alors voici une question existentielle à son propos:
-Que pensez-vous du mois de mai?
-Que pensez-vous du mois de mai?
Labels:
existential question,
Mai,
May,
question existentielle
Curtains
Since we moved in to our new home last year, we have kept a few things from the previous owners. Too many things maybe, but we were so busy and there was so much to do, we kept them by default. Among them, the curtains in our bedroom. Since the last few weeks, we started getting bothered by them: light gets through and it makes sleep difficult early in the morning. I wonder why we did not mind before. Maybe we were just too exhausted with the move then the baby, to notice, and then of course there were less and less daytime. But anyway, we bought new curtains yesterday, black out ones and this should finally be sorted. One should hope so.
La verdure qui déprime (un peu)
Photo prise à Hartley Wintney et je la mets ici car elle sert mon propos. Je me suis rendu compte d'une chose récemment: la poussée de verdure que l'on a ces temps-ci et que les gens attendent avec impatience me déprime un peu. Nous sommes le premier mai, le printemps entre dans sa pleine force et ça me laisse plutôt froid. C'est peut-être dû à ma situation actuelle plus que par une saison que je n'aime plus beaucoup. Mais enfin bref, je regarde la verdure et je me sens un peu triste. Juste un peu.
Labels:
chêne,
Hartley Wintney,
Mai,
May,
melancholia,
mélancolie,
oak,
parc,
park,
Printemps,
saisons,
seasons,
Spring
Subscribe to:
Posts (Atom)