Bon, ma publication sur Vraie Fiction de gags de Mafalda passe plutôt inaperçu on dirait, mais je m'y lance quand même une fois de plus. Celui-ci a été créé après la série, pour illustrer les Droits de l'enfant de l'ONU. Il illustre parfaitement le sentiment ambivalent que j'avais durant mon enfance, que j'ai encore, envers l'école. L'école, c'est souvent ça, Felipe le comprenait parfaitement: une nécessité, un droit primordial, mais ce que ça pouvait être barbant.
Or, c'est le mois d'août, cette époque dans l'été qui marque le début de la fin de vacances. En août, je suis pris de mélancolie, des années après avoir cessé d'étudier et des années après avoir mis fin à ma carrière dans le monde de l'éducation. Ca ne rate jamais. Je n'ai pas encore vu de publicité pour le retour à l'école, mais ça ne devrait pas tarder. Dans tous les cas, il m'arrive souvent d'avoir de ces moments de méancolie du mois d'août. Enfant, c'était pire: je pouvais sentir l'odeur de l'école certaines journées. C'est pourquoi d'ailleurs je crois, que je lis surtout Mafalda le mois d'août. J'ai souvent l'impression qu'elle et ses amis (surtout Felipe) comprennent ma douleur.
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