Sunday 23 October 2011

L'art de survivre à la mélancolie du dimanche

Parce que bon, les sanglots longs des violons de l'automne c'est bien beau, mais ça n'arrange rien: je trouve dimanche mélancolique et plus le lundi approche plus j'ai ce sentiment de fatalité. Alors j'essaie de survivre à la mélancolie. Je sais, j'ai déjèa blogué là-dessus en anglais (et je crois un million de fois, de manière directe ou indirecte) Cela dit, je parlais ici de combattre la mélancolie du dimanche. J'essaie une autre stratégie ces temps-ci: d'y survivre, tout simplement. La mélancolie a du bon, surtout en automne. En tout cas elle a du charme. L'hiver, c'est autre chose, surtout après les Fêtes: il faut des remèdes plus radicaux.

Alors aujourd'hui j'ai marché dans les alentours. Il faisait chaud, mais pas trop, alors c'était une belle journée automnale appréciable. J'ai lu. J'ai essayé de faire des tâches ménagères. En fait, j'ai essayé de m'adonner à des activités tranquilles, histoire d'être le moins actif possible, tout en l'étant. Vous me suivez? C'est un équilibre subtil à atteindre: l'esprit doit demeurer occupé sans pour autant devenir soucieux, ou obsédé par un problème quelconque. Après avoir passé ma journée d'hier à magasiner, je voulais un dimanche tranquille.

2 comments:

Cynthia said...

Je suis aussi allé me balader par contre après je me suis endormie sur le divan devant un film ... pas très active en fin de compte!

PJ said...

Moi, j'ai travaillé jusqu'à 9 heures du soir. Un peu épuisé mais satisfait d'avoir accompli la tâche que j'avais promis de finir avant lundi. Mettons que j'ai pas eu le temps d'avoir la mélancolie du dimanche.