Monday, 28 November 2011

Grandeurs et misères du capitalisme

Aujourd'hui c'était Cyber Monday. Or, je travaille dans les ventes. Je devrais être heureux, mais j'ai trouvé la journée pénible. J'en ai encore mal partout. À l'heure du lunch, j'ai eu le temps de lire l'éditorial de Mario Roy. Quand même La Presse trouve que la journée en est une de capitalisme débridé, c'est que c'est vraiment une fête excessive. Je ne suis pas un socialiste radical, ni même un socialiste tout court, en fait je me suis graduellement réconcilié avec le capitalisme, en tout cas le petit capital, le mien. Le merveilleux monde du commerce me fait gagner ma croûte décemment et la vente est, comme on dit, une compétence transférable. Cela dit, aujourd'hui j'en avais rien à foutre. Je me sentais un peu comme Sisyphe. Au moins moi je suis payé...

1 comment:

Cynthia said...

Ouf heureusement que dans mon secteur du "retail" on ne fait que des mini-soldes une fois par année!