Thursday, 3 April 2014
Lire un livre en connaissant la fin
J'ai récemment terminé Quinze pour cent de mon cousin Samuel Archibald. Une bonne petite novella, presque trop courte en fait. J'espère qu'on reverra les personnages dans d'autres histoires. J'ai bien aimé, donc. Surtout que ça se passe au Saguenay-Lac-St-Jean. C'est tout de même rare, une histoire policière qui se passe dans ma région. C'est assez plaisant (dit avec l'accent régional) de revisiter des lieux familiers. Sauf qu'il y a une chose qui m'a agacé: je savais le motif du crime et la chute dès le départ. Parce que Samuel tient cela d'une anecdote qu'il a entendue, un fait vécu, et il me l'avait raconté il y a quelques années (au moins une décennie) en me disant qu'il voudrait en faire une histoire. Alors voilà, bien que fascinante, j'avais une cruelle impression de déjà-vu. Ca m'est arrivé quelquefois par le passé de connaître le dénouement d'une histoire, mais jamais comme ça.
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