C'est mon plan pour l'après-midi: préparer les atocas pour le souper de Noël. Je préfère le mot atoca (ou atoka) à canneberge. C'est par ce nom que je les ai connues en premier et puis il a une dimension culturelle que les autres n'ont pas. Il faut bien se souvenir de ses racines, même de l'autre côté de l'Atlantique et au Québec on appelle les canneberges atocas. Joli nom bien amérindien.
L'atoca peut servir à bien des choses: pur, son jus rajoute du goût à un verre de jus d'orange. Mais en confiture, avec du sucre, elle accompagne parfaitement la dinde de Noël ou son équivalent véggétalien. J'éprouve une certaine fierté à préparer la "cranberry sauce" depuis que j'ai appris que ma nièce avait beaucoup aimé celle que j'avais faite il y a quelques années. Elle ne mangera sans doute pas celle-là, mais au moins ça va sentir Noël dans la maison.
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1 comment:
Ah, les atocas. Ça n'a jamais été mon truc, mais je vais en prendre un peu cette année, juste pour apprécier cet aspect de notre culture.
Et, histoire de râler contre les Français, tu sais qu'à cause de leurs propriétés antioxydantes, les compagnies de jus et pharmaceutiques ont fait de la grosse pub pour des produits à base d'atocas? Tu sais comment ils les appellent, ces petites baies maréchaires? Cranberries! On n'a pas moins de deux noms en Français (et plus si ont utilise le type d'airelle dont il s'agit) et ils y vont avec le nom anglais. Ça donne envie de leur crisser un tomahawk à la yeule...
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