Voyez-vous où je veux en venir? Les mois qui finissent en "bre" sont les mois où les
huîtres sont à leur meilleur, c'est du moins ce que mon père m'a appris dans mon enfance, quand il m'a fait découvrir les huîtres. Pour beaucoup, l'huître est un aliment dégueulasse et visqueux, mais je ne sais pas pourquoi, je trouve le fuit de mer absolument irrésistible. Cher, mais délicieux. Et je viens de me rendre compte que je n'ai pas mangé d'huître depuis à peu près trois ans. Je présume qu'en Angleterre, le prix des huîtres doit être prohibitif, mais je vais peut-être voir si je ne peux pas m'en négocier une ou deux la prochaine fois que je vais dans une poissonnerie (ou que je me retrouve au comptoir des poissons d'Asda, de Waitrose, etc.). Ou alors j'en mangerai de retour au Québec. L'ennui, c'est que ma très végétarienne femme risque de trouver ça cruel. Cela dit, c'est plus difficile d'avoir de la sympathie pour une huître que pour
un canard.
No comments:
Post a Comment