Je viens de lire cet article dans Cyberpresse, sur la fin des partys de bureau pour cause de récession. Je pensais à ça parce que j'ai été invité à un souper des Fêtes entre collègues pas plus tard qu'hier. C'est à la bonne franquette, dans la maison de l'un d'eux (de l'une, en fait) où chacun doit (modestement) contribuer, mais c'est quand même une sorte de party de bureau. C'est également le genre de party de bureau que je préfère, récession ou pas, surtout avant Noël. Cette année, j'ai été à un bal masqué organisé par les employeurs de ma femme, la contribution pour le repas fut princière pour la quantité (des portions minuscules) et pour la qualité (bonne mais quelconque).
J'ai travaillé dans une entreprise où le party de Noël était presque orgiaque, avec alcool en abondance (et sur le bras de l'employeur), orchestre rock, DJ, décorations tape-à-l'oeil, etc. Je dis orgiaque, mais l'enthousiasme des employés et des patrons à vouloir avoir du plaisir avait quelque chose d'un peu sectaire. Ce n'était pas Eyes Wide Shut, loin s'en faut, mais je ne me sentais pas dans mon élément. Enfin, les excès du party de Noël ne les ont pas empêché de faire des compressions un mois plus tard. Cette année, je crois que je vais trouver le souper entre collègues beaucoup plus sympathique. La fin des partys de bureau me désole peu, surtout que c'est temporaire.
A Fall Walk in My Neighborhood
18 hours ago
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