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Monday, 30 January 2023

Perdrix sur la neige

Photo prise sur le lot de mes oncles, et en couleur par-dessus le marché, d'une des caméras de surveillance. Des perdrix sur la neige. Je la partage rien que parce que.

Sunday, 1 May 2022

Tuesday, 2 November 2021

Une perdrix

Mon père m'a envoyé une photo d'une perdrix, je crois qu'il l'a tuée lors d'une partie de chasse. Enfant, j'allais chasser la perdrix avec lui, mais il n'a jamais pris quoi que ce soit avec moi: j'étais beaucoup trop bruyant.

Saturday, 10 April 2021

Une perdrix

Mon père m'a envoyé cette photo prise par une caméra sur le lot de mes oncles. Vous voyez la perdrix? Elle est en bas à droite. Ce n'est pas l'oiseau le plus rare (enfin je ne crois pas), mais c'est toujours plaisant à voir une perdrix.

Tuesday, 1 May 2018

Une perdriole, qui va, qui vient, qui vole...

J'ai pris cette photo au York Castle Museum et je l'utilise pour illustrer mon propos. Je sais bien que ce n'est pas une perdrix, enfin si c'en est une elle n'est pas comme les perdrix du Québec, mais je crois bien que ce soit un gallinacé et puis de toutes façon, la chanson que je veux partager aujourd'hui mentionne bien des oiseaux (dans certaines versions elle ne mentionne que ça). Je parle bien entendu de La Perdriole, laquelle a plusieurs versions, dont une avec les mois de l'année, mais moi je préfère celle qui mentionne les jours de mai. Parce que l'on est le premier jour de mai, alors il est temps d'évoquer cette perdriole qui va, qui vient, qui vole...

Tuesday, 1 May 2012

Le premier jour de mai...

...que bloguerai ici? Je me le demande souvent le premier jour de mai, tout le mois en fait. Mai n'est pas mon mois le plus mémorable (contrairement à, disons, octobre ou mars). C'est celui du printemps qui se change peu à peu en été. Ce qui est littéralement arrivé aujourd'hui: il pleuvait et faisait misérable ce matin, puis soudainement le soleil est réapparu, et avec lui la chaleur. Je ne sais pas si cette photo que j'ai téléchargé a été prise en mai, mais elle est pleine de verdure et je crois qu'elle se prête bien au sujet de ce billet. Elle a été prise à Montréal, sur le Plateau.

Bon, alors, vous associez mai à quoi? J'en ferai sans doute une question existentielle bientôt. Pour moi, c'est d'abord et avant tout La Perdriole, une chanson qui est en fait une version modifiée, ou qui a la même origine, que The Twelve Days of Christmas. Il semblerait que la perdriole soit souvent associée au printemps. La génération Passe-Partout, la mienne, se souvient sans doute de cette autre Perdriole. J'ai déjà blogué sur La Perdriole ici et . Cette année, je vais plus loin: j'ai décidé de la télécharger sur le blogue. Interprétation d'une certaine Chantal Boulanger. J'aime bien cette version en reel. Je vais peut-être en télécharger d'autres de factures plus classiques, si vous avec le coeur à les entendre. Ca cololera ce mois de mai.

Tuesday, 4 October 2011

Une réflexion sur le gibier

Mon père m'a envoyé cette photo, parmi d'autres, d'un orignal (parmi d'autres) que ses frères et lui ont tenté d'abattre. Je ne crois pas qu'ils aient réussi. J'aime la viande d'orignal, par là je veux dire: depuis que j'en ai mangé je trouve que la viande de boeuf ça ne goûte rien. Mais de voir un orignal vivant, je ne sais pas, j'ai comme moins envie de le manger. Pourtant, la chasse est bien plus éthique que la production fermière, quant à moi. Mais je n'y peux rien, je ferais un piètre chasseur. J'avais une haute opinion du métier de chasseur quand j'étais enfant, j'étais impressionné quand mon père revenait de la chasse aux canards avec des prises et ça m'attristait qu'on n'en mange jamais. Il allait parfois à la chasse aux perdrix avec moi, mais on n'a jamais pris quoi que ce soit parce que j'étais trop bruyant. Mais c'était une des activités automnales que j'appréciais beaucoup.

Et récemment, j'ai appris qu'il préparait un lapin pour souper. Ca m'a fait penser aux temps où il pleumait les lapins, lièvres et les perdrix dans le sous-sol chez nous. Ca aussi ça m'impressionnait, étant enfant. Une fois mort, j'ai moins de sentiments envers la bête. Ce qui fait qu'un lièvre ou une perdrix morte me fait penser à un seul mot: tourtière. Ou, dans le cas de l'orignal: rôti d'orignal avec plein de vin rouge pour accompagner le repas. Et le lapin, je me rappelle encore avec délectation en avoir mangé pour la première fois (enfin je crois que c'était la première fois, il y en avait peut-être eu dans la tourtière avant) à la Pignoronde à baie-St-Paul, sous la forme d'un lapin à la moutarde de Meaux. Je ne l'ai pas encore mangé à nouveau apprêté ainsi, il faudrait bien que j'essaie encore avant que la culpabilité m'étouffe et que je devienne végétarien.

Sunday, 19 June 2011

La Fête des Pères

C'est la Fête des Pères, je ne savais pas si j'allais la souligner parce que je ne savais pas comment la souligner. Et puis aujourd'hui j'ai lu la chronique de Richard Martineau là dessus. Et ça m'a frappé, j'ai su comment aborder le sujet. Outre que Martineau a raison, qu'on a tendance à montrer les activités pères/fils comme une succession de parties de baseball et de parties de pêches, ça m'a rappelé que mon père, même s'il pêche et chasse (les seuls sports qu'il ait vraiment pratiqués je crois), a surtout contribué à mon développement intellectuel. La pêche m'ennuie en général (même si j'aime le poisson) et, si j'ai chassé la perdrix avec lui, je crois que j'effrayais le gibier. Mes parents m'ont donné le goût de la lecture et je n'ai jamais eu à m'en plaindre. Alors c'est mon anecdote/contribution pour souligner la Fêtes des Pères.

Monday, 26 April 2010

Ocarinas

Lors de mon récent séjour à Chicoutimi, j'ai retrouvé quelques reliques de mon passé de musicien amateur. deux reliques en fait, deux ocarinas achetées toutes deux à Québec, de sources différentes.

Celle en bas à gauche a été achetée d'un musicien un peu hippie (c'est un souvenir lointain alors ce n'est peut-être pas rigoureusement exact) dans les rues de Québec, celle en haut à droite, plus typiquement québécoise et à l'apparence plus singulière, d'un commerce, Cérimages, qui je crois a maintenant disparu et qui avait pignon sur rue à Québec. La gamme d'ocarinas qu'ils produisaient s'appelait Flûtimages, j'ai cherché autant comme autant sur google, je n'ai trouvé ni site web de la compagnie, ni de site consacré aux produits eux-mêmes, ni même de mention des produits eux-mêmes. J'ai donc, rangé dans mes affaires chez mes parents, une future antiquité, produit rare et original. Les Flûtimages représentaient des animaux (des oiseaux surtout mais pas exclusivement) de la faune québécoise. L'ocarina que mes parents m'avaient achetée était appelée "l'hirondelle printanière". Si mon souvenir est bon il y avait aussi une perdrix, une oie et un cygne.

Je n'ai jamais réussi à apprendre à jouer de l'ocarina correctement, ni de la typique ni de "l'hirondelle printanière". J'ai tout au plus pu sortir quelques sons qui n'étaient pas des fausses notes.Pour moi, l'ocarina était surtout l'instrument dont jouait Stellie, la protégée d'Albator dans le premier dessin animé tiré du manga de Matsumoto. Je n'ai pas réussi à retrouver l'air de la version français, mais on peut avoir le thème original sur Youtube, qui me fait vaguement penser à Greensleeve. Un jour peut-être, j'essaierai de mettre ici un enregistrement de mes deux ocarinas. En plus d'immortaliser leurs apparences, il faudrait aussi que j'immortalise leur musique, surtout celle de l'hirondelle.

Saturday, 2 May 2009

Le deuxième jour de mai...

...que donnerai-je à ma mie? J'ai déjà parlé de cette chanson ici. Je n'ai pas pu bloguer hier, alors je souligne aujourd'hui que nous sommes le deuxième jour de mai. Il fait beau, il fait chaud, c'est vraiment le printemps qui commence à ressembler à l'été. J'ai enseigné aujourd'hui comme à chaque samedi, les enfants on chanté Alouette, je te plumerai, qu'ils commencent à savoir un peu beaucoup, alors je vais peut-être leur enseigner La Perdriole. Je connais aussi celle-là, qui est bien mais un peu courte. Je pensais à leur apprendre À la pêche aux moules, dont je n'ai toujours connu que le refrain, mais en lisant les couplets, je les trouve beaucoup trop pleins de sous-entendus.

Thursday, 4 December 2008

Aftermaths of the Twelve Days of Christmas

For those who find Christmastime stressful, or who simply can't stand the famous song, you need to read this parody by John Julius Norwich absolutely. I really mean it. Read it. Now. Enjoy. I read it for the first time in book form in a Waterstone's, I was sadly not smart enough to buy it. It pictures perfectly how Christmas can sometimes be a pain. I always wondered what somebody could have done with all those animals, I mean you can milk the cows (or get them milked for you, as the maids are the gift after all), but what about the rest? You can eat the pears of the tree and the geese's eggs of course and well, you can pluck the partridge and put it in a tourtière, but that would make my wife very angry. And I don't think I could kill a partridge anyway, especially not if it was a gift. Same goes with the rest, so I would have to endure the stupid birds and the cows, the lords, the ladies dancing, the drummers, and the rest.

Friday, 30 May 2008

La Perdriole

Tiens, je viens de m'en rendre compte: on sera le dernier jour de mai. Mai est un mois qui passe un peu inaperçu chez moi: c'est le mois qui suit celui de ma fête et qui précède le plus chaud (enfin, la plupart du temps) mois de juin. J'associe octobre à l'Halloween, décembre à..enfin vous savez quoi, septembre au début de l'automne, août à la fin de l'été, mars au début du printemps et à la Saint-Patrick, mais mai... C'est un mois mi-chair, mi-poisson, pour ainsi dire. Tout jeune, je le confondais avec août, c'est dire. Cela dit, j'ai un souvenir précis de mai, c'est celui de la chanson La Perdriole (il y en a plusieurs versions, certaines ne faisant même pas allusion à mai). Une perdriole, si je ne trompe pas, c'est une perdrix, un oiseau que mon père chassait (à l'automne, pas en mai) et qui donne du goût aux tourtières. On remarquera que la chanson en question s'apparente sur bien des points aux Twelves Days of Christmas. Pauvre Perdriole, éclipsée par une chanson plus populaire (et en anglais en plus). Cela dit, j'associe l'oiseau et le mois de mai à cette chanson folklorique.