J'ai déjà cité Auguste Villiers de l'Isle-Adam, cette citation en fait, mais elle vaut la peine d'être réutilisée en guise d'introduction pour ce billet:
"Des moyens très simples créent la terreur: une porte qui s'ouvre, un jardin sous la lune... On ne voit pas le diable mais son oeuvre..."
Il fait depuis notre retour en Angleterre un temps d'automne un peu sinistre, avec de la pluie et du vent. Cela dit, je ne m'en plains pas car j'aime l'automne. Les arbres ont déjà commencé à prendre des couleurs. L'automne est aussi le compte à rebours pour l'Halloween, ce qui, dans mon cas, veut dire lire des histoires d'horreur ou des livres sur le folklore et les légendes. Il n'y a pas de plaisir plus délicieux (et cathartique) que de lire une histoire effrayante dans le confort de son salon, quand il fait un sale temps dehors et que la nature prend des allures sinistres avant l'hiver. Je n'ai hélas pas ce bouquin sous la main, étant donné qu'il est stationné à Montréal (ou à Chicoutimi?). Cela dit, j'ai encore à terminer La Légende de la Mort d'Anatole Le Braz. J'ai hélas terminé la section sur l'Ankou, mais je peux y revenir bien sûr. Et il me reste tout le chapitre sur les morts malfaisants. J'ai aussi sous la main The Oxford Book of English Ghost Stories que je recommande fortement. Déjà lu, mais je peux toujours relire mes histoires préférées. cela dit, il me faudra faire l'acquisition d'autres livres.
Il y a aussi les films d'horreur que j'essaie de voir en marathon. Halloween bien sûr, l'un de mes préférés, un petit bijou d'efficacité, mais également Nosferatu et les films d'horreur de la Hammer. Comme vous pouvez le constater, je préfère les vieux classiques.
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