Le Toblerone dans les aéroports

J'ai pris cette photo à l'Aéroport de Southampton, dans une boutique hors-taxes, lors de notre dernier voyage. C'est bien entendu une montagne de barres de Toblerone, ces chocolats pyramidaux qui semblent surtout se vendre dans les aéroports. Je me suis toujours demandé pourquoi. Pourquoi le Toblerone est-il vendu en pareilles quantités dans les aéroports? Qui les achète et pourquoi? Pour moi, le Toblerone était le chocolat que l'on utilisait pour faire de la fondue au chocolat lorsque j'étais enfant, jusqu'à ce qu'on se rende compte que PJ était allergique aux amandes dedans. Ce n'est que plus tard que j'ai vraiment commencé à manger du Toblerone sans le faire fondre. Mais enfin bref, je me demande bien c'est quoi l'idée de cette marque de chocolat en particulier dans les aéroports.

Les cent ans du Toblerone

J'ai appris aujourd'hui que le Toblerone a eu cent ans récemment. L'article que j'ai lu est ici. Ca m'a étonné que l'histoire de ce chocolat ait été si mouvementée. Pour moi, le Toblerone est surtout un souvenir d'enfance: c'était le chocolat qu'on utilisait pour nos premières fondues. je croyais qu'il était fait exclusivement pour ça. Je trouvais que sa forme était particulièrement exotique et il me donnait l'impression d'être un produit de grand luxe, en partie à cause de sa forme triangulaire et de son contenant aux couleurs riches. J'ai encore un peu cette impression quand j'en mange.

Petits et grands plaisirs

Il semblerait qu'à cause de la Crise, les Américains investissent dans les petits plaisirs. J'ai trouvé ces article fort intéressant. Ca m'a fait remarquer que dans mon cas, je préfère souvent les petits plaisirs aux grands, surtout en ce qui concerne les plaisirs de la table. J'aime bien manger au restaurant, mais je prends autant de plaisir à manger un hamburger qu'un repas gastronomique. J'aime le chocolat belge très cher, mais j'aime autant le Toblerone et les barres Mars. En fait, il ne me faut pas grand chose pour être heureux. Même mes plaisirs littéraires peuvent parfois être d'une simplicité (ou d'un simplisme?) alarmante.