Je crois que c'est de circonstances...
Blogue d'un québécois expatrié en Angleterre. Comme toute forme d'autobiographie est constituée d'une large part de fiction, j'ai décidé de nommer le blogue Vraie Fiction.
Je crois que c'est de circonstances...
Bon ben j'ai 48 ans aujourd'hui. Tradition oblige:
Parce que nous sommes le 11 novembre, Jour du Souvenir, je partage blogue La guerre de 14-18 de Georges Brassens. Je l'ai déjà fait en 2015, mais bon... Je crois que je peux me le permettre à nouveau.
C'est l'équinoxe d'automne, personne ne pourra me dire que ce n'est pas l'automne. Et, comme c'est la cas à la date susdite, je partage Le vingt-deux septembre de Georges Brassens. L'équinoxe n'est pas funeste pour moi, mais ça demeure une belle chanson automnale, parfaitement mélancolique.
Bon ben... J'ai 47 ans aujourd'hui. Je suis déjà un peu plus,à chaque année, comme le vieux Corneille. Et par conséquent je partage, ainsi qu'à chaque année, ses Stances à Marquise, chantées par Georges Brassens. Je ne peux emmerder personne en attendant. Ce serait un brin hypocrite, à mon âge.
L'équinoxe cette année, c'est demain. Et pour moi l'automne, c'est au début de septembre que ça commence, pas lors de l'équinoxe. Cela dit, c'est une tradition que de partager Le vingt-deux septembre de Georges Brassens sur Vraie Fiction, tant comme célébration de l'automne que de sa mélancolie. Alors donc...
Parce que c'est le mois de mai j'ai en tête une chanson de Georges Brassens qui le mentionne. Comme parfois j'ai envie d'écouter du Brassens et de le partager, voici La femme d'Hector.
J'ai 46 ans aujourd'hui. Par conséquent: le vieux Corneille, les Stances à Marquise, Georges Brassens et tout le reste.
Une tradition sur ce blogue, chaque 22 septembre. Voici donc Le vingt-deux septembre de Georges Brassens. L'équinoxe est pour demain, mais c'est tout comme.
Je sais que j'ai partagé ici du Georges Brassens le 7, je sais que j'ai déjà partagé Le temps passé en 2010, mais qu'importe. Mon frère PJ l'a mis sur Facebook il y a peu de temps et c'est de circonstances.
Je mentionnais récemment sur mon mur Facebook la rentrée scolaire de petit loup, me lamentant que le temps passe trop vite. Mon frère PJ a envoyé cette chanson de Georges Brassens en guise de commentaire. Je l'avais déjà entendue, mais c'est la première fois que j'y prends vraiment conscience. Dans le cocktail de nostalgie et mélancolie, c'est peut-être parfait.
Il a plu passablement il y a quelques jours, alors pour une raison quelconque ça m'a mis cette chanson de Georges Brassens en tête.
J'ai 45 ans aujourd'hui, donc... J'ai les traits un peu (plus) vieux. Comme le vieux Corneille le disait dans les Stances à Marquise, chantées ici par Georges Brassens. Une tradition sur ce blogue.
Plus personne ne peut le nier aujourd'hui, nous sommes en automne, parce que c'est l'équinoxe. Alors donc, je partage cette chanson de Brassens, qui est délicieusement mélancolique.
Bon, aujourd'hui n'est pas mon anniversaire de mariage, mais comme on s'y approche et comme c'était l'anniversaire de mariage de mes parents récemment, j'ai en tête cette chanson de Georges Brassens, que je partage aujourd'hui. Les circonstances de mes noces étaient très différentes, beaucoup moins dramatiques (et puis je suis plus jeune que les époux de la chanson). Mais bon, c'est une façon de souligner tant mon anniversaire de mariage que celui de mes parents.
Bon, j'ai 44 ans aujourd'hui, encore techniquement dans la "jeune" quarantaine, je dois quand même avouer: j'ai quelques traits un peu vieux. Et comme c'est une tradition sur Vraie Fiction (même si j'ai négligé de l'observer les deux dernières années), voici les Stances à Marquise, version chantée par Georges Brassens. Avec bien entendu la fin ironique rajoutée par Brassens. Il y a de meilleurs enregistrement sur YouTube, mais cette vidéo a son sourire, qui vaut le visionnement...
Je partage encore une fois Le roi des cons de Georges Brassens. Ai-je besoin de dire pourquoi? Et je sais qu'il reste moins de deux semaines, mais ce roi-là, faudrait vraiment le déposer avant qu'il ne détruise complètement son pays.
Comme à chaque année sur ce blogue, je partage Le vingt-deux septembre de Georges Brassens. Parce que devinez quelle est la date aujourd'hui. Après vérifications sur mon blogue, il semblerait que je partage de moins en moins de Brassens. Après après année, c'est cette chanson que je mets ici, à la même date ou à peu près. C'est une chanson parfaitement automnale, mélancolique à souhait.