...et les framboises et, dans le cas qui nous concerne, littéralement. J'ai déjà parlé de cette chanson
ici, dans un long billet culturo-culinaire (
viens-je d'inventer ce terme?) que je fais parfois. On chantait la chanson étant jeune, ayant cueillir l'un ou l'autre. Surtout des framboises chez mon oncle, car on ne cueillait pas vraiment des fraises, sauf parfois des petites fraises des champs dans une coulée près de chez nous, mais on les y trouvait en quantités minuscules. Certainement pas assez pour faire de la confiture. Mon
petit frère pourrait vous raconter le souvenir inoubiable d'avoir cueilli enfant des petites fraises des champs avec notre gardienne préférée (véritable Mary Poppins, je bloguerai peut-être sur elle un jour). Mais enfin bref, au Québec il est rare que les deux fruits viennent ensemble, puisqu'ils sont cueillis à deux moments différents de l'été. Ici, on les retrouve sur les étagères tout l'été, elles se sont donc retrouvées ce soir dans le même plat. Je mets la photo ici pour donner une couleur estivale au blogue. L'esprit chauvin que je suis parfois trouve que les fraises ne sont pas aussi bonnes que celles de l'île, mais c'est quand même un mélange intéressant. C'est certainement approprié pour la saison.
2 comments:
C'est pas une bonne année pour les fraises ici. Il n'y en a pas beaucoup, elle sont chères, et elle ne sont pas très bonnes non plus. C'est mal parti pour mes plants de tomates aussi. On a un drôle d'été, mais, comme d'habitude, je ne le verrai pas. Alors je ne devrais pas me plaindre. Mais j'espère que ça va quand même être bon pour les bleuets.
Mauvaise année pour les fraises, semble-t-il, mais toutes celles que j'ai mangé, contrairement à PJ étaient délicieuses....
À moins que ce soit que ça me prenne pas grand chose pour me contenter après les fraises californiennes, qui, on ne sait trop pourquoi sont toutjours disponibles en cette saison.
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