Une soupe aux épinards (récit anecdotique)

Il n'y a pas longtemps, je suis allé dans un restaurant italien local, parce que ça ne me tentait pas de cuisiner. Il y a des drames quotidiens comme ça qu'il faut parfois affronter avec courage et détermination. Surtout quand la vaisselle s'accumule près de l'évier. Alors bref, j'y suis donc allé et j'y ai commandé en entrée la soupe du jour, qui était une crème d'épinards. Vous la voyez à gauche. J'y ai bien sûr fait ajouter une bonne saupoudrée (ça existe en forme nominale?) de parmesan. On mange de l'italien, ou on n'en mange pas. C'était délicieux et comme toute bonne soupe qui se respecte, ça aurait pu être suffisant pour un repas. Ca m'a fait penser à mon voyage en Italie, il y a de cela des années, où j'avais mangé comme repas une minestrone qui avait beaucoup d'épinard dedans. Coïncidence: la minestrone de la photo sur ce billet venait également du même restaurant. Morale de l'histoire: c'est bon de la bonne soupe, quand elle est bien consistante.

La minestrone

Petit billet gastronomique de milieu de semaine morne. Comme bien des milieux de semaines. J'ai déjà blogué ce soir sur un sujet beaucoup plus grave, mais essayons d'équilibrer le blogue. Pour le sujet plus circonstanciel, vous pouvez répondre à cette question existentielle.Maintenant, je vais parler de soupe. De minestrone, pour être plus précis. Je ne me rappelle plus quand j'ai découvert la minestrone pour la première fois, ça devait être à Montréal, mais c'est sans doute ma soupe préférée. Une autre des contributions gastronomiques de la civilisation italienne. C'est le genre de soupe que je mangerais bien un soir de semaine morne quand j'ai faim et je n'ai pas le goût de faire à manger. La soupe en général est une comfort food parfaite, la minestrone l'est encore plus. Je ne sais pas trop pourquoi.