Ca y est, c'est officiel, nous sommes en pleine canicule ici et ça risque d'empirer les prochains jours. Je sue sang et eau, enfin presque, je sue surtout de l'eau, mais je suis sûr que mon sang s'épaissit. Il risque d'être devenu de la sauce d'ici à la fin de la semaine. Aujourd'hui au travail, j'ai eu droit à une journée à l'extérieur à accompagner les élèves dans divers ateliers créatifs. Comme c'était très mal organisé je l'ai su lorsque je suis entré dans la salle des profs. Enfin, ce n'est pas si mal, l'école était un four et l'édifice où nous sommes allés était beaucoup plus frais. Étrange comme les édifices anciens (celui où j'étais datait de l'époque victorienne), semblent s'adapter plus facilement au climat que les édifices récents. À ce que je sache, il n'y avait pas d'air climatisé, ou alors c'était utilisé très discrètement.
Une incongruité de comportement de mes collègues: on avait laissé les lumières ouvertes dans la salle des profs, ce qui a dû faire rôtir mes collègues. Au retour, j'ai suggéré de les éteindre. Je me demande comment j'ai pu être le premier à y avoir pensé. Ils souffraient peut-être de délire causé par la chaleur.
Monday, 29 June 2009
Saturday, 27 June 2009
A religion lesson from a Godless man
The Godless man of the title being yours truly. Yesterday, I was asked to cover a Religious education lesson. Somebody else was supposed to do it, the task was to basically get info from the Bible, but she did not know much about Bible stories. Looking through the exercises with the other colleagues, one turned to me and said "Guillaume, you are quite knowledgeable, why don't you cover this one?" So I did. It was an interesting experience. On Fridays, the children are not into work that much so getting them to actually do the exercises was difficult. I was amazed to see how little they know about Christianity. I expected the Muslim pupils to have difficulties, but I could not believe how the Christian ones have no religious culture whatsoever, or barely any. I don' think they retained much of it. I told them some basic stuff, always stressing that this was according to the Bible and therefore not necessarily acurate. A colleague told me at the end of the class that their tutor does not believe in God, therefore does not teach them much RE. I said I am an atheist myself, but I still knew about the Bible, thanks to years of Catholic brainswash (I said "of being educated in a Catholic school system", but that is what I meant). I do think the kids should learn about religions, but they should definitely be critical towards them. The way the educational system is organised in England, with the Church of England being anything but separate from the state, keeping the pupils critical is difficult.
Nevertheless, there are reasons for secularists like myself to be happy. It seems that there are less and less religious young people in the UK. I got this info from the Atheist Experience blog.
Nevertheless, there are reasons for secularists like myself to be happy. It seems that there are less and less religious young people in the UK. I got this info from the Atheist Experience blog.
Wednesday, 24 June 2009
La Saint-Jean de l'expatrié
C'est la Saint-Jean-Baptiste aujourd'hui, je l'ai modestement fêtée en expatrié. J'ai peu de choses à dire et il se fait tard. Je laisse ici la chanson de Claude Gauthier, je trouve que le lyrisme se prête à ma situation.
Tuesday, 23 June 2009
My life on the bookshelves
This picture was taken by my parents. These are all the books they got back from the old flat in Montreal, books I gathered in more than twenty years. I once blogged about something vaguely similar. I can't help but feel a bit sad that I don't have all these books at my grasp. Some will have to go to charity eventually (I am not fond of all the novels I read, obviously), but I hope to get some back here. I haven't read them all, for one, and I also want to re-read many of them. Watching these shelves, one can get a pretty detailed picture of what's in my head. Not that I remember everything I read, but I gained through them some knowledge and I kept at least some of it. Although I will never claim that I am an erudite, I have certainly tried to grow into one. It also shows my interests, the ones that changed through the years and the ones I kept. Bookshelves like thess ones have something of reassuring, they are both familiar but a lot of what they have are still terra incognita, to me or to any reader who might come pass it. I might be far from it, but I am glad the books are there on display, where they should be, and not in boxes.
Sunday, 21 June 2009
Les copains des perrons aujourd'hui dispersés
C'est le début officiel de l'été aujourd'hui, comme ce l'était l'année dernière. Ce billet pourrait être inconséquent et épisodique, mais les changements saisonniers me rendent parfois mélancolique/nostalgique, alors il se peut que je ponde quelque chose de pas mal de ces rêveries. C'est le début officiel de l'été, donc, même si l'été est déjà commencé depuis un bout de temps dans les faits puisqu'il fait chaud au moins une fois sur deux. Ce n'est cependant pas encore les vacances, ce qui me désole. Et je n'ai pas encore acheté de costume de bain, ni bien sûr plongé dans une piscine. L'été d'un trentenaire n'est pas, hélas, l'été de son enfance, ou même (faute de mieux) de son adolescence. Ce n'est même pas l'été du vingtenaire (?) qu'il était. Ce sera bientôt la Saint-Jean-Baptiste, ma chère Fête nationale, laquelle je passerai pour la trosième fois consécutive sur une terre étrangère, en Angleterre en plus. Je vais essayer de me soigner et de célébrer la fête en bon expatrié.
Aujourd'hui, j'ai la chanson Frédéric de Claude Léveillée en tête. J'ai un ami dans l'armée qui parfois, alors que j'étais encore dans la jeune vingtaine, me la chantait souvent avant de sortir prendre un verre. Il n'a jamais été un grand amateur de musique québécoise, ni même particulièrement sentimental ou nostalgique, mais il avait une affection particulière pour cette chanson-là. On a une fois passé une Saint-Jean au Vieux Port de Chicoutimi à écouter Claude Léveillée en personne se produire, en espérant finalement entendre Frédéric. Le reste de son oeuvre, on s'en balançait un peu. Léveillée chanta l'air seulement à la toute fin, mais ça valait la peine d'attendre. Je ne sais pas pourquoi je l'aime autant que ça, ni pourquoi je me sens nostalgique à l'écouter. Mes amis d'enfance ou de mes vingt ans n'étaient pas des copains des perrons, je n'ai pas grandi dans un milieu urbain et mon expérience des perrons date de mes années à Montréal, qui n'était pas exactement mon milieu familial. Je ne bois pas plus de vin maintenant qu'à vingt ans (j'en bois peut-être même moins), mes parents ont rarement invité mes amis autour de la table un dimanche. J'imagine que la chanson a une portée universelle, les perrons c'est aussi le quartier et, peu importe les particularités de la jeunesse passée, il y a toujours un moment où les amis seront dispersés aux quatre vents. Enfin bref, la Saint-Jean est pour bientôt et cette chanson est parfaite pour dimanche d'été mélancolique.
Aujourd'hui, j'ai la chanson Frédéric de Claude Léveillée en tête. J'ai un ami dans l'armée qui parfois, alors que j'étais encore dans la jeune vingtaine, me la chantait souvent avant de sortir prendre un verre. Il n'a jamais été un grand amateur de musique québécoise, ni même particulièrement sentimental ou nostalgique, mais il avait une affection particulière pour cette chanson-là. On a une fois passé une Saint-Jean au Vieux Port de Chicoutimi à écouter Claude Léveillée en personne se produire, en espérant finalement entendre Frédéric. Le reste de son oeuvre, on s'en balançait un peu. Léveillée chanta l'air seulement à la toute fin, mais ça valait la peine d'attendre. Je ne sais pas pourquoi je l'aime autant que ça, ni pourquoi je me sens nostalgique à l'écouter. Mes amis d'enfance ou de mes vingt ans n'étaient pas des copains des perrons, je n'ai pas grandi dans un milieu urbain et mon expérience des perrons date de mes années à Montréal, qui n'était pas exactement mon milieu familial. Je ne bois pas plus de vin maintenant qu'à vingt ans (j'en bois peut-être même moins), mes parents ont rarement invité mes amis autour de la table un dimanche. J'imagine que la chanson a une portée universelle, les perrons c'est aussi le quartier et, peu importe les particularités de la jeunesse passée, il y a toujours un moment où les amis seront dispersés aux quatre vents. Enfin bref, la Saint-Jean est pour bientôt et cette chanson est parfaite pour dimanche d'été mélancolique.
Saturday, 20 June 2009
Masquerade Ball
Yesterday, in spite of being very tired because of the week I had, my wife and I went to a masquerade ball with her colleagues, where we ate too little, drank moderately but enjoyed ourselves nevertheless because we were in good company (her colleagues and their boyfriends/husbands are really nice). I wore the mask that you can see left, which she made herself. It was a really nice mask, I did not wear it very long but I did have it for longer than I would have first expected. I say this, as disguises never last long when people are wearing them at a formal evening, somehow one starts feeling ridiculous about the whole thing. There is indeed something slightly ridiculous about wearing a disguise or a costume (including in the most formal circumstances), even if it is just a simple mask. I wanted to look a bit like Fantômas yesterday, with the suit and the mask, but I did not look ferocious enough. I ended up looking like a guy with a suit and a mask.
That said, I always loved wearing masks. It has something to do with the playful nature of the thing, as I wore them so often on Halloween nights and in the month before (usually domino masks like the one I wore yesterday, so I have a nostalgic attachment to that particular kind), and on other occasions, playing either masked avengers or masked criminals. The style of a chosen mask reveals just as much about yourself as it tries to conceal your identity (poorly when it comes to a domino mask). One can discover a few things about the way my wife perceives me when she made the mask. In any case, it is a nice accessory that is too seldom used in social events.
That said, I always loved wearing masks. It has something to do with the playful nature of the thing, as I wore them so often on Halloween nights and in the month before (usually domino masks like the one I wore yesterday, so I have a nostalgic attachment to that particular kind), and on other occasions, playing either masked avengers or masked criminals. The style of a chosen mask reveals just as much about yourself as it tries to conceal your identity (poorly when it comes to a domino mask). One can discover a few things about the way my wife perceives me when she made the mask. In any case, it is a nice accessory that is too seldom used in social events.
Wednesday, 17 June 2009
Encore Fantômas
Je désespérais de pouvoir voir la série de Claude Chabrol sur Fantômas, mais je commence à croire qu'elle va finir par se manifester en DVDs. Elle refait surface peu à peu, en tout cas. J'ai retrouvé deux nouveaux extraits sur youtube, le plus important étant composé d'une série de scènes tirées du Mort qui tue et peut-être d'autres épisodes également. Il y a aussi un projet de film prévu pour 2011 sur lequel j'ai de sérieux doutes, mais cela fera revivre l'intérêt pour Fantômas et sans doute que les vieilles adaptations, dont celle de Chabrol, ressortiront. D'ici là, je laisse ici les deux extraits trouvés sur youtube. Le second n'est que le générique que j'avais déjà mis ici, mais on peut avoir une appréciation de la série dans le premier vidéo. L'intrigue est aussi rocambolesque et tirée par les cheveux que dans les romans. Juve est un peu vieux mais l'acteur semble bien le jouer et Helmut Berger fait un Fantômas parfaitement sinistre.
Monday, 15 June 2009
Garter Ceremony
I went to the Garter Ceremony today, with a colleague and a few pupils from school. It was a divinely ironic situation for me, as I have absolutely no sympathy for the monarchy or the Queen of England. I am at the core of my heart a staunch republican and I make no mystery of it. I am indeed so much of a republican that I prefer the pope to the Queen. At least the pope got elected, and did not reproduce to give birth to descendants and successors of lesser intelligence. I was therefore amazed that my colleague asked me to be the second adult to accompany the children. Asking a Quebecker, separatist, republican (like many Quebeckers), atheist (although she probably does not know that) to go with a few kids who are all in love with their monarchy (or at least prince William), that was I think a kind and generous offer, so I said yes. It is nice to be accepted and appreciated by some colleagues. It is also nice to be outside on a sunny day.
In any case, it made me see Windsor Castle from the inside. I see it everyday from the outside, and the familiarity of its presence kind of banalized its majesty. It made me see it in a new perspective and made me rediscover its beauty. This is a massive building, built by a man bearing the same name as me, who actually deserved to be king of England, as he rose to power because of his intelligence, not simply because he was born. And I could also appreciate the uniforms of the guards, slightly ridiculous, but not half as silly as the ones the royalties were wearing. They are the supreme power of this nation, and they dress like clowns. Garter Ceremony indeed. I kept those thoughts for myself of course. My colleague still teased me for my republicanism, but it was very friendly. I think native French speakers are considered in this country de facto republicans. Anyway, about the soldiers, one has to admit, in spite of the often ridiculous attire, their discipline was impressive. There was nothing ridiculous in the rough harmony of the military ritual. And I do like the colourful uniforms. Especially the beefeaters uniforms, which I really loved when I was a child anf I first came into England. I associate them more with the gin brand than anything else, but it is still nice to see some in the flesh. Like all the rest this afternoon, in a more flamboyant fashion than all the rest, they are a living anachronism.
Saturday, 13 June 2009
Way Down In The Hole
I am discovering with pleasure The Wire these days. Great crime show, great characters, great story, great atmosphere, I will, I promise, blog about it one day. It made me discover a song by Tom Waits, Way Down In The Hole, which is used in the opening credits. I don't know much about Tom Waits, if anything at all, but I really love the tone of this song. I don't want this blog to be all happy and cheerful all the time, blogging about blossoming trees and summertime and so on. Sometimes, I need a healthy dose of profanity, of bitter beer, gloomy fiction and overall cynicism. I might not walk the streets of Baltimore, I still come from a city even Raymond Chandler deemed as highly corrupted. But in the end, I put the song here because I love it.
Friday, 12 June 2009
J'ai mal à mon alma mater
Des nouvelles des universités québécoises m'ont attristé récemment. J'ai fait mon baccalauréat à l'Université de Montréal, je n'y ai pas créé des liens aussi profonds qu'ailleurs, mais c'est là que j'y ai fait mes premières armes universitaire, c'est par la vie étudiante que j'ai d'abord découvert Montréal et j'ai donc un attachement nostalgique envers mon alma mater. L'Université de Montréal est de l'extérieur un très beau bâtiment, à quelques exceptions près (dont les pavillons Jean-Brillant et Lionel-Groulx, qui sont d'horribles bunkers rébarbatifs), mais l'intérieur est pourri comme une vieille carcasse. Je ne sais pas si l'U de M se meurt ou si l'état des lieux est un signe qu'elle est déjà morte. Mais ça me déprime beaucoup.
Un article d'Yves Boisvert sur ce sujet déprimant ici.
Un article d'Yves Boisvert sur ce sujet déprimant ici.
Tuesday, 9 June 2009
Blossoming crabapple tree
Here is a picture of the crabapple tree in blossom outside my parents's house. It was taken a few days ago. Because of the wind, it does not look as good now. Crabapples themselves are for me a sign of end of summer and beginning of autumn and harvest, but I associate the tree blossoming with hot summer days to come. I wish I could smell it, like I used to when I was spending the holidays at my parents's house. I don't know if it is because of it's pinkish white colour of the flowers that produces the perfume, but I always found the smell of this tree sweet and relaxing (and somewhat exotic). In any case, it is nice to see an image of summertime. Where I am these days, it is cold, it rains and it doesn't look or feel much like June. That said, I have reasons to be happy (or happier): I learned today that one of my senior colleagues appreciates me quite a lot and desperately wants me back for next year and another of my colleagues/client from the Saturday job is passing my cv around so I can find a bigger/better job. After the last few days feeling out of place and being considered with almost hostility by some, it is nice to be appreciated. So it might be gloomy outside, but I can now look at the weeks and months ahead with hope and confidence. And of course there is always the picture of the crabapple tree to cheer me up.
Monday, 8 June 2009
Deux fêtes à souligner
Juste un billet rapide avant d'aller au lit: c'est la fête de mon plus jeune frère et de mon filleul aujourd'hui. Je n'ai acheté de cadeau ni à l'un ni à l'autre, ce qui me fait sentir très coupable, surtout en ce qui concerne mon filleul. Je compte régler ce problème dans les prochains jours. J'espère pouvoir aussi appeler mon filleul. J'ai essayé aujourd'hui, ça ne marchait pas.
Pour petit frère, je lui laisse ici une chanson de bonne fête signée François Pérusse. Hors contexte, elle est un peu débile, mais elle demeure quand même drôle.
Pour petit frère, je lui laisse ici une chanson de bonne fête signée François Pérusse. Hors contexte, elle est un peu débile, mais elle demeure quand même drôle.
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Sunday, 7 June 2009
A Whale Of A Tale
In order to shamelessly use the pictures we took at the London aquarium (since they go so well with they go so well with the background of this blog), I have decided to put here a song from the movie 20,000 Leagues Under the Sea. I already blogged about the movie. As a child, I used to love the song. I always liked Kirk Douglas, he was maybe more a charismatic actor than a great actor, but what a presence he had (and I guess has still). He was perfect to play the action man and he also had a perfect voice for this kind of song, raspy like one could believe a sailor man would get after spending months breathing the salty air above the ocean. I am in need of a holiday. My job is getting boring and one of the colleagues I mentioned recently is getting increasingly difficult. Until then, I have this song.
Thursday, 4 June 2009
Tiens, juin
Nota Bene avant de commencer ce billet et entrer dans le vif du sujet: cette photo date de l'année dernière (le 22 juin dernier pour être exact), mais ce blogue n'est pas très à jour depuis cette semaine. Je tenais à mettre une photo histoire de rendre ce billet, qui sera je le crains un peu gris, un peu plus intéressant.
C'est donc juin depuis presque une semaine déjà et je ne l'ai pas encore souligné. La température est très correcte. Il ne fait plus chaud comme il y a quelques jours, mais au moins il ne fait plus froid comme en mai. Je suis passablement malade, pas assez pour ne pas travailler, mais assez pour rendre mes journées à l'école ainsi que mes déplacements un peu pénibles. Ce sont des maux qui courrent: il y a deux ou trois profs à part moi qui ont été malades récemment ou le sont encore. Mes journées sont d'autant plus pénibles que mon travail m'ennuie un peu ces temps-ci, et la prof dont je parlais récemment est de plus en plus froide et désagréable. Encore une fois, elle ne me confronte pas directement et je ne peux pas m'en plaindre, mais elle réussit quand même à m'empoisonner un peu l'existence, du moins en ce qui concerne ma job. J'ai de plus en plus envie de lui dire ma façon de penser, mais il faudra que je me montre aussi incisif que mesuré.
Mais bon, enfin, trêves de digressions. C'est juin.
C'est donc juin depuis presque une semaine déjà et je ne l'ai pas encore souligné. La température est très correcte. Il ne fait plus chaud comme il y a quelques jours, mais au moins il ne fait plus froid comme en mai. Je suis passablement malade, pas assez pour ne pas travailler, mais assez pour rendre mes journées à l'école ainsi que mes déplacements un peu pénibles. Ce sont des maux qui courrent: il y a deux ou trois profs à part moi qui ont été malades récemment ou le sont encore. Mes journées sont d'autant plus pénibles que mon travail m'ennuie un peu ces temps-ci, et la prof dont je parlais récemment est de plus en plus froide et désagréable. Encore une fois, elle ne me confronte pas directement et je ne peux pas m'en plaindre, mais elle réussit quand même à m'empoisonner un peu l'existence, du moins en ce qui concerne ma job. J'ai de plus en plus envie de lui dire ma façon de penser, mais il faudra que je me montre aussi incisif que mesuré.
Mais bon, enfin, trêves de digressions. C'est juin.
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