Un air d'été

Non, non, pas cette toune de Pierre Bertrand, que j'exècre profondément (c'est gnan gnan). Sans Beau Dommage, je trouve qu'il a peu d'intérêt, pour être honnête. Enfin, ça a peu d'importance, j'ai choisi ce titre pour ce billet parce que c'est exactement l'air que le printemps a ces temps-ci: nous ne sommes pas encore rendu à la mi avril et il fait chaud. Assez chaud pour que je porte un manteau d'été, pour que le mercure indique 20 degrés (l'un des avrils les plus chauds de l'histoire de l'Angleterre, paraît-il), pour que je mange moins de trucs lourds (il me faut bien terminer ceci), pour que je songe à l'été qui s'en vient. Cela dit, je ne me fais pas d'illusions: avril est un mois abjectement traître et prompt aux changements d'humeur. Alors s'il fait beau maintenant, je me méfie de la suite des choses.