Blogue d'un québécois expatrié en Angleterre. Comme toute forme d'autobiographie est constituée d'une large part de fiction, j'ai décidé de nommer le blogue Vraie Fiction.
Monday, 31 August 2015
London fog in York?
Une gargouille
Sunday, 30 August 2015
The dusk of August
August will end very soon so I thought I would write a post about it. I do it sometimes, August being a month I have ambivalent feelings about. I often feel the August melancholy, this year it was not as bad. Maybe because I came to appreciate more the changing nature of August, the transition it is from summer to autumn. Maybe also because it felt very much autumnal at some moments and since it is my favourite season I think this month bode well for it. And you, how was your August? Did you have the August blues?
C'est Athéna, bon!
J'ai pris en photo cette statue de la déesse d'Athéna lors de mon voyage à York. Cela dit, sur la plaque sous la statue, on dit que c'est une statue de Minerve. Qui est bien entendu le nom romain d'Athéna. Sauf que moi, il n'y a rien qui m'agace plus que de donner un nom romain à une divinité grecque. En d'autres mots, ça m'inerve... et oui, c'est un nouveau calembour atroce.
Of trains, toys and men
I took this picture at the National Railway Museum in York. A rather modest picture of my time there, but the pictures of the camera have not been uploaded yet, so I only have the pics taken with my mobile phone available at the moment. The museum was magnificent and maybe the highlight of my holidays. Holidays which were, again, marked by the theme of railways and trains. So we were in the National Railway Museum, which has real sized machines and wagons on display, but also these small models running around behind windows. As there was a crowd of little boys, fathers and grandfathers looking at this particular display, my wife observed: "It's funny how little kids are fascinated by model trains. Big kids too." It deserves to be a great unknown line, on which I will end this post. Prepare to see more posts about trains in the upcoming days and weeks. But then again, trains are a fascinating subject for me and I often blog about them, so it is business as usual.
Nuit Blanche sur Tableau Noir
J'ai manqué bien des occasions de bloguer sur le vif lorsque j'étais parti. Il y a une chose en particulier sur laquelle je voudrais bloguer maintenant et par le fait même ploguer: l'édition 2015 de Nuit Blanche sur Tableau Noir. Plogue tardive: elle se termine aujourd'hui. Enfin ce soir. Si vous désirez marcher sur l'Avenue Mont-Royal et la découvrir sous son angle le plus hippie, néanmoins le plus convivial, c'est le temps. C'est une expérience assez unique. Et puis c'est sa vingtième édition. Ca ne rajeunit personne: je l'ai découverte en 1996, lors de sa seconde édition, alors que je commençais à vivre sur le Plateau.
Saturday, 29 August 2015
Dark and stormy York
Unfortunately I still don't have any picture of my trip. Well, I do, but no picture would be able to illustrate properly the moment. I went to York on Saturday last week. Here down south, it was a heatwave and a very summery day. But as the train was riding up North, it was becoming more and more overcast and gradually it became stormy. In the train, it was absolutely gorgeous. There was even some mist at some point. There is just something about going through the English countryside in the train when there is bad weather. It really felt great. But then we arrived in York... And it was pouring and stormy like the sky was about to fall. Thankfully the accommodation was only less than ten minutes away from the station. But in the rain, it felt like hours. I thought at first that the holidays started very badly. But I have to say that York looked gorgeous in the storm. It was more enjoyable looking at it from a dry place.
L'ultime limonade estivale?
Cet été, j'ai eu l'occasion de bloguer sur la limonade plus d'une fois. Alors que l'été achève, il faisait sens que je blogue une fois de plus sur celle-ci, une dernière fois sans doute. J'ai pu observer ce genre de stands partout dans York lors des vacances qui viennent de finir. J'ai commandé ma seule et unique limonade hier dans l'après-midi. C'est effectivement une vraie limonade, pressée sur place avec un vrai citron, juste assez de sucre et un peu d'eau. Pas transcendante comme expérience, mais le service est fait avec le sourire et bon, c'est authentique. Je trouve curieux et jusqu'ici inexplicable qu'il y ait autant de ces kiosques dans une ville du nord de l'Angleterre. Le citron n'est pas exactement un fruit emblématique du coin.
Sinon, la limonade me rappelle un souvenir d'enfance: c'était l'une de mes premières journées d'école de l'année, il faisait encore une température d'été, je revenais de ma pause du midi et il y avait une maison juste à côté de l'école où des adultes étaient dehors à boire de la limonade. J'aurais voulu qu'ils s'étouffent avec. De les voir comme ça, ça me rappelait que mes vacances étaient terminées. Depuis, à chaque fois que je bois de la limonade, je me sens vengé.
Sinon, la limonade me rappelle un souvenir d'enfance: c'était l'une de mes premières journées d'école de l'année, il faisait encore une température d'été, je revenais de ma pause du midi et il y avait une maison juste à côté de l'école où des adultes étaient dehors à boire de la limonade. J'aurais voulu qu'ils s'étouffent avec. De les voir comme ça, ça me rappelait que mes vacances étaient terminées. Depuis, à chaque fois que je bois de la limonade, je me sens vengé.
David's Tea's Autumn collection
I am back from York, as those who read French know. Before I blog about my holidays, when I will have uploaded my pictures, I wanted to give a quick information about some news of some importance for the tea aficionados among you: David's Tea has launched its autumn 2015 collection. Okay, so the collection is called "fall collection", but I hate the name "fall" for the season. But in any case, it is an important announcement. I intend to buy it next time I am in Montreal and also maybe get a new autumn tea mug. Their designs simply look more stunning every year. So anyway, I can barely wait.
Nous reprenons notre programmation habituelle
Pour ceux qui se demandaient et se désolaient (enfin, j'espère que vous vous en désoliez) de mon silence dans la blogosphère, sachez que j'ai passé une semaine de vacances à York. Je suis donc de retour, après une voyage de plusieurs heures assez cahotique dans le train (au début et à la fin surtout). Je n'ai pas encore téléchargé mes photos du voyage, je le ferai plus tard afin de bloguer sur mes vacances plus en détails. Je tenais simplement à souligner d'ici là que Vraie Fiction reprend sa programmation habituelle. J'ai pas mal de sujets de billets en tête, alors surveillez ce blogue durant les prochains jours. Et par la suite également, bien entendu, car il reprend sa programmation habituelle.
Saturday, 22 August 2015
"We aim to disappoint"
I received a mailer from First Great Western warning me from severe service disruptions in the upcoming days due to strikes. Which made me react with this sarcastic line on Facebook. Don't get me wrong, I understand sometimes employees have to strike and this means the service their employers provide will suffer. I even tend to be on the side of the employees, in general, when there is a strike. But I have issues with First Great Western, which from my experience takes cavalier ways towards their customers, when a train is late or cancelled for instance. I have good reports with the staff, but the decision makers take bad decisions which result in embarrassing service. So I wrote this sarcastic line, which I think deserves to be a great unknown line. And the beauty of it is that it can work for any poor customer service.
Un hôtel à l'air familier
Mon petit frère PJ est en vacances à Prague en ce moment et il a publié plusieurs photos sur Facebook. J'ai hésité à en télécharger une parmi celles-ci, car il veut peut-être les utiliser sur son propre blogue. Mais quand j'ai vu cette photo, je n'ai pu résister à la tentation. An Archibald unique hotel. Ca a l'air bête, mais c'est que voyez-vous, le nom de famille du côté de ma mère c'est justement Archibald. Alors... Alors rien. C'est un détail amusant. Et parlant de vacances, il n'y a encore de réponse ma question existentielle 269. Je songe bloguer à propos des réponses. Pour en revenir à cet hôtel, il va me falloir vérifier les prix, mais j'aimerais bien y résider lorsque j'irai à Prague. Car je compte bien visiter la ville un jour.
Friday, 21 August 2015
Time for H.P. Lovecraft

La chute du Dom Juan de Molière
Ah! mes gages! mes gages! Voilà par sa mort un chacun satisfait, Ciel offensé, lois violées, filles séduites, familles déshonorées, parents outragés, femmes mises à mal, maris
poussés à bout, tout le monde est content ; il n’y a que moi seul de
malheureux, qui après tant d’années de service, n’ai point d’autre
récompense que de voir à mes yeux l’impiété de mon maître, punie par le
plus épouvantable châtiment du monde. Mes gages! mes gages! mes gages!
Je sais que je sui un peu monomaniaque, après avoir blogué sur Don Giovanni, je blogue encore sur Don Juan, mais celui de Molière. Qui s'écrit Dom Juan. Avec un m. Je l'ai lu plusieurs années après avoir découvert l'opéra, simplement pour connaître ce que je croyais être la source de l'oeuvre. Il faudra bien un jour que je lise l'original de Tirso de Molina. Vous devinez que j'ai développé une certaine obsession sur le personnage de Don Juan. Mais pour moi et jusqu'ici, le libretto de Lorenzo da Ponte demeure l'interprétation définitive du personnage. À la lecture de la pièce, j'étais par ailleurs assez déçu. Il manquait quelque chose, je ne sais encore pas quoi. Cela dit, le dernier acte et la chute, avec les derniers mots de Sganarelle, j'avais trouvé ça très fort. Et ce soir ces mots me hantent, comme ils le font parfois. Il va me falloir revisiter la pièce aussi.
Je sais que je sui un peu monomaniaque, après avoir blogué sur Don Giovanni, je blogue encore sur Don Juan, mais celui de Molière. Qui s'écrit Dom Juan. Avec un m. Je l'ai lu plusieurs années après avoir découvert l'opéra, simplement pour connaître ce que je croyais être la source de l'oeuvre. Il faudra bien un jour que je lise l'original de Tirso de Molina. Vous devinez que j'ai développé une certaine obsession sur le personnage de Don Juan. Mais pour moi et jusqu'ici, le libretto de Lorenzo da Ponte demeure l'interprétation définitive du personnage. À la lecture de la pièce, j'étais par ailleurs assez déçu. Il manquait quelque chose, je ne sais encore pas quoi. Cela dit, le dernier acte et la chute, avec les derniers mots de Sganarelle, j'avais trouvé ça très fort. Et ce soir ces mots me hantent, comme ils le font parfois. Il va me falloir revisiter la pièce aussi.
The figs are still green

Question existentielle (269)
Une question existentielle qui pourrait s'appliquer à bien des pays, mais c'est du Québec qu'il s'agit cette fois-ci:
-Y a-t-il un endroit au Qébec, ville ou village, qui est à la fois idyllique et n'a pas encore été envahi et massacré par les touristes?
Bref, peut-on être à la fois idyllique et anonyme? C'est une question très profonde aussi, mais commençons par le microcosme, si vous le voulez bien.
-Y a-t-il un endroit au Qébec, ville ou village, qui est à la fois idyllique et n'a pas encore été envahi et massacré par les touristes?
Bref, peut-on être à la fois idyllique et anonyme? C'est une question très profonde aussi, mais commençons par le microcosme, si vous le voulez bien.
Thursday, 20 August 2015
Brotherhood of socks
In the mood for something completely trivial? When I am looking for one sock from a pair of socks, I ask where is the sock's brother or little brother. This is something I picked up from mum since I was a child. "Have you seen his brother", "does this one have a brother", "here's the brother", etc. I don't know if it is a lost Québec expression or a family one, but I never heard anyone use it outside my family. Maybe my mother invented it because she only had boys. And I use it often, since I easily lose socks. The expression used to amuse my wife a lot, until she started using it too. She told her friend (the mother of the Tickler) about it, who thought it was so good that she decided that she was going to use it. So there you have it. There is nothing to say to it, except that it is a fun expression. Please feel free to refer to your socks as brothers, but don't forget to mention where you learned it first. I'd like a bit of credit.
Le pommetier et ses fruits
Mon père m'a envoyé des photos du pommetier familial. Dont celle-ci. Elle est tellement impressionnante que j'ai décidé de la publier sur Vraie Fiction. C'est dans des moments comme ça qu'il me manque, plein de fruits à cueillir. Les pommettes mûres et prêtes à être cueillies, c'est le début des récoltes qui annonce l'automne. C'est encore l'été, mais on peut sentir qu'il se termine. Et puis il n'y a rien de plus plaisant que de cueillir les pommettes un après-midi un peu frais comme celui qu'on a eu ici.
Wednesday, 19 August 2015
Time for Don Giovanni
As those of you who read my posts in French know, my brother PJ is in Prague these days and tonight he is watching/listening to Don Giovanni by Mozart on the stage that first produced the opera. The performance might actually be over as I am typing this. To say that I envy him is an understatement. I am bleeding jealous. Don Giovanni is my favourite opera and I also consider it the greatest ever written, bare none. So these last few days, I have been dreaming about future time in Prague to do exactly that and been listening to the music a lot. I also read through the libretto by Lorenzo da Ponte (yes, I have it, see the image on the left). But I mainly listen to the arias on YouTube. I wanted to upload one here, I was not sure which one to upload as I have already uploaded many. So I decided to upload the duet La ci darem la mano, which I already did years ago, but followed by Ah! Fuggi il traditor!. So it's a double bill. Anecdote: I did sing the duet when I was learning opera, it was the one and only duet I ever sang actually. Sadly, I never did in front of an audience. On the plus side, I was never chastised by a Donna Elvira looking like Cecilia Bartoli.
Un alligator à Montréal

Tuesday, 18 August 2015
Scheming Salieri
My brother PJ is in Prague, to see a performance of Don Giovanni. So he is in a musical mood. So am I, as well as in an envious mood, this being my favorite opera, bare none. Anyway, he also made me aware today of a very special anniversary for people into musical history: today is the 265th anniversary of Antonio Salieri. Contemporary of Mozart, an urban legend makes him his murderer. And various works of fiction, among them the movie (and the play which inspired it) Amadeus, which used this urban legend to great effects. But Salieri was apparently in conflict with Mozart and scheming against him, which is enough to be disliked nowadays by people like me. I am merciless aren't I? Still, it is very ironic that he is now famous for a crime he probably never committed. And that his rival his now renown as the greatest composer of all time. So in "honour" (hum, hum) of Salieri, I uploaded this introductory scene from Amadeus, which pretty much sums up his stature now in our memory.
Le temps des feux de foyer?
Monday, 17 August 2015
Black Cat Appreciation Day
Un pub renippé

Wild geese flying south
There is another sure sign of autumn coming I have been witnessing these days. Or rather these evenings: for the last few evenings, I could hear and see wild geese flying from north to south. Last year I saw geese flying in September, now it is in August. And it happens with the regularity of clockwork: when the sun goes down, you can hear them coming, flying over the house, going straight south. It tried to take a picture of them on Saturday evening, but they were too fast and it was already too dark. Geese can be elusive. It makes me feel all fuzzy inside watching them, all eager to see more signs of autumn. Wild geese flying also remind me of Selma Lagerlöf's The Wonderful Adventures of Nils, which is one of the things that made me discover Sweden. You can read more about this memory of mine here. So anyway, when I see wild geese flying, I think of two things: Nils Holgersson and autumn coming. When the flock flies south of course.
Un calembour atroce tchèque (mettons)
Mon frère PJ est en vacances à Prague. Sur Facebook, il a commis ce calembour atroce: "Tchèque ben ousque j'suis!" Quand je dis que c'est atroce, c'est atroce pas rien qu'un peu. je pense que depuis celui du clavier Azerty, je n'en avais pas lu d'aussi mauvais. Je ne crois pas que j'en aie produit d'aussi atroce moi-même depuis celui de la nausée qui abonde. Alors je me devais de l'homologuer ici. Désolé si ça vous fait grincer des dents.
Sunday, 16 August 2015
The crab apple jelly of Wild at Heart

So I was reluctant to buy the jelly, but in the end I did it anyway. Because it is getting at that harvest time when I would usually pick up crabapples and because I wanted to enjoy them on toasts. I was also curious about the product and how it would compare to the home-made stuff I am so fond of. So I had some this morning with my breakfast. It is indeed quite nice. That said, it is not quite a nice as the crapabble jelly my family makes (I understand I am most likely biased). The Wild at Heart version is more like a jam than a jelly, truly: a lot of it is liquid and the solid part is rather soft, not as firm as what my parents make. At £3.99, it is rather expensive for a delight that a commoner could make just as well. But it was enjoyable to taste crabapple jelly on a toast all the same. And Wild at Heart gave me a brilliant inspiration: it says on the label and on their website that their jelly is ravishing with roasts, as an alternative to redcurrant jelly or cranberry sauce. And reading this it struck me: why did I never think about it before? So tonight we will have some on the side of our Sunday roast, which we also bought in COOK. And next time I am home, I will also accompany our Sunday roast with crabapple jelly.
La chasse aux papillons
"Glow Back to School"?

La fin du règne des condos à Montréal?
Il semblerait que l'achat de condos à Montréal montre des signes de fatigue, c'est du moins ce que j'ai appris dans La Presse Affaires. Il se construit plus d'appartements locatifs ces temps-ci. Si ça pouvait faire baisser le prix du condo, ce serait une bonne chose. Lorsque mes parents ont acheté le condo familial sur le Plateau Mont-Royal, au milieu des années 90, l'investissement revenait moins cher à long terme que de louer un appartement. Quelques années plus tard, les prix sont devenus prohibitifs. Si jamais un jour je reviens vivre à Montréal, j'aimerais pouvoir être en mesure d'acheter, ce qui est pas loin d'être utopique là où je vis. Cela dit, je ne me connais pas dans l'immobilier. Moins de condos, ça veut dire aussi plus de rareté, donc des prix qui peuvent augmenter, ou rester aussi élevés. Si vous vous connaissez en immobilier, dites-moi ce que ces changements signifient.
Saturday, 15 August 2015
The Oresteia for £5
There are news like this that get the thespian in me all excited. So recently, I have learned that Shakespeare's Globe (yes, THE Globe) was soon going to show an adaptation of The Oresteia by Aeschylus... and that some tickets were going to cost the sum of five pounds. Five sterling pounds. A fiver, as the Brits say. Five quid, as they also say. In other words, a bargain. I love Greek mythology, I also love theatre and especially seeing it on stage. Last year, you might remember that I saw Medea. I did not blog about ti afterwards, although I wanted to. It was a great experience. But it was seen in a cinema, on a live performance. For a fiver, I could see the play on stage. And not any stage. Ok, so it would cost me the prices of the tickets to London, the meal there as well, but all the same. I am very tempted to book it.
Renversant (la photo du mois)
Le thème a été choisi par Carole en Australie. Passablement plus facile que le mois précédent. Alors enfin donc et bref, j'ai choisi cette photo, prise dans le Derbyshire. Si je me rappelle bien, c'est supposé représenter New York. rien qu'à cause de ses courbes et de son énergie, c'est dans tous les cas assez renversant, merci.
Et vous trouverez plus bas comment les autres ont été renversés:
A'icha, Akaieric, Alban, Alexinparis, Arwen, Aude, Autour de Cia, BiGBuGS, Blogoth67, Calamonique, Canaghanette, Cara, Carole en Australie, Champagne, Chat bleu, Christophe, Cocazzz, Cricriyom from Paris, CécileP, Céline in Paris, Dame Skarlette, DelphineF, Dom-Aufildesvues, Dr. CaSo, El Padawan, Estelle, Eva INside-EXpat, Fanfan Raccoon, François le Niçois, Frédéric, Galéa, Gilsoub, Giselle 43, Guillaume, Homeos-tasie, Iris, J'habite à Waterford, Josette, Julia, Kenza, KK-huète En Bretannie, Koalisa, Krn, La Fille de l'Air, Lau* des montagnes, Laulinea, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Les bonheurs d'Anne & Alex, Les Filles du Web, Loqman, Loulou, Luckasetmoi, Lyonelk, magda627, Mamysoren, MauriceMonAmour, Memories from anywhere, Milla la galerie, Morgane Byloos Photography, Nanouk, Nicky, Noz & 'Lo, Philae, Philisine Cave, Pilisi, Pixeline, princesse Emalia, Renepaulhenry, Rosa, Rythme Indigo, Sinuaisons, Suki, Testinaute, Thalie, Tuxana, Un jour, une vie, Woocares, Xelou, Xoliv'.
Friday, 14 August 2015
Blackbirds in the tree
I took this picture a few days ago, when I was walking home. It is of the beech tree (anyway I think it's a beech tree, I might be wrong) I blogged about before. This time, there was no crow in it but a huge flock of blackbirds, cawing like crazy, flying around it... You don't see them much, of at all, because the branches of tree are now full of leafs. But it was a very eerie spectacle. It felt and especially sounded like in this famous movie. I know I made this comparison fairly often in the last few months. Maybe I am more conscious of it these days, the eerie nature of some of some birds singing, the rather ominous nature of their presence. I don't have much to say about it, apart from this. It was simply a striking scene.
Don Giovanni à Prague

Thursday, 13 August 2015
The Japanese Tea Ceremony
I took this picture from one of the posts on David's Tea's blog. This is what made me read the post. Funny how such simple objects, a cup, a teapot, could convey such atmosphere. I have been to a Chinese tea ceremony and plenty of English ones (which are not truly ceremonies), but never to a Japanese one. I love the idea of a proper ritual for tea, to take the time to enjoy it. Not only its flavour, but the whole moment when you drink with friends and loved ones. This is what I love about tea: it is a convivial drink. And the Japanese understand this and I admire how they give proper respect to tea and thus to the people sharing tea. I hope one day to take part in this ceremony.
Un dessert (pour PS)
Il faut dire les choses comme elles sont: Prof Solitaire a repris la guerre de la food porn, avec des billets comme celui-ci. Alors je me venge, avec une photo de pointe de tarte aux bleuets sauvages authentiques du Lac, oui monsieur. On est Bleuet ou on ne l'est pas. La tarte a été faire par mon frère PJ. Je pensais récidiver un peu plus tard dans la semaine, parce que j'ai blogué pas mal sur la bouffe la semaine dernière, mais j'ai changé d'avis. Il faut savoir battre le fer pendant qu'il est chaud.
Wednesday, 12 August 2015
Being mishpocha?
I hope nobody minds that I blog again about Krav Maga. I am a man of habits, but I try to diversify the topics of my blog posts as much as possible. But anyway, tonight was another Krav Maga class. We are getting more comfortable working and learning together and we also keep in touch through the week, via Facebook or emails. We gathered a few weeks ago for a drink and we socialize during chance encounters in town. Our instructor often talk of us as a big family that he trains, for him it is a bit like a second family. So I half joking said that we were now mishpocha. I know the term from The Wire, which has been used once. It is a Yiddish term meaning family in the large sense, sometimes it includes close friends. It is a fitting term for an Israeli martial art. And it is the word of the day (I try to bring a bit of culture to this blog see). I don't know how mishpocha we really are, as I cannot say any of my fellow warriors are friends. They are still acquaintances, some I don't even know their name. All the same, it is a nice word to use and a status to aspire to.
Le 12 août...

Tuesday, 11 August 2015
"Back to School"

Le retour du Saguenay Dry?
J'ai déjà blogué (et utilisé cette photo) en 2013. J'y faisais un hommage au défunt Saguenay Dry. Ginger ale régional qui fut un temps un des aspects mineurs de la spécificité saguenéenne. Sans que je sois un grand buveur, j'ai toujours eu de l'affection pour lui. Malheureusement, il n'existe plus depuis 2006. Cela dit, je me suis fait dire par un ami de Facebook, qui s'y connait en actualités saguenéennes, que la production pourrait peut-être reprendre. Je ne sais pas d'où il tient ça, mais il n'est pas du genre à se fier à de simples rumeurs. Enfin, si ça devait s'avérer vrai, il y a un Saguenéen expatrié qui serait bien content.
Monday, 10 August 2015
Totnes Castle
Question existentielle (268)
C'est ma deuxième question existentielle en deux jours. J'essaie de diversifier la nature de mes billets, mais il y a des moments où c'est plus difficile. Cela dit, c'est assez à propos, car c'est justement le sujet de ma question existentielle:
-Un blogue comme celui-ci devrait-il diversifier ses sujets aussi souvent que possible, ou au contraire suivre des thématiques d'un billet à l'autre?
Vaste question...
-Un blogue comme celui-ci devrait-il diversifier ses sujets aussi souvent que possible, ou au contraire suivre des thématiques d'un billet à l'autre?
Vaste question...
Sunday, 9 August 2015
Longing for Bergamo
I was thinking about it recently: it has been almost fifteen years since my first (and last) trip to Italy. And thinking about it made me realise: 1)that a visit is long overdue and 2)that I miss the city of Bergamo, where one of my best friends, and certainly my best Italian friend, lives. I don't know why I loved the city so much, but of all the cities I visited, it might be my favorite. I mentioned on Facebook that I was missing Bergamo and she told me we were welcomed to visit it at any time. Nice to know, although I don't know when that will be possible. Until then, I will try to brush up my Italian. And to calm my longing for Bergamo, I listen to Uccellini's take on the bergamasca, which is originally a local dance. I blogged about it here and decided to upload it again tonight to accompany this post with a bergamese melody.
Question existentielle (267)
Voici une question existentielle à portée très pratique:
-Quel est le moment idéal le dimanche pour faire du ménage?
-Quel est le moment idéal le dimanche pour faire du ménage?
The wisdom of Nick Stefanos
"Mai had an Abba CD playing on the house system. It bothered Stefanos that groups like Abba and the Carpenters were considered hip now. Stefanos figured that anything that blew the first time around still blew, period. Retro appreciation was nothing more than blind nostalgia."
I guess I should have apologized to all my readers who loved ABBA (and the Carpenters, but I don't know them). That said, there is so much to love about this quote from Shame the Devil by George Pelecanos. Because what private eye Nick Stefanos says is so darn true. I often compare his stories to classic Greek tragedies or Greek mythology set in Washington D.C. You know, since Pelecanos is of Greek origins and all. Now I add Greek philosophy to this. Because this is pure wisdom. Object of nostalgic appreciation, and this comes from a nostalgic, has to be earned. And yes, I think ABBA blew the first time around.
I guess I should have apologized to all my readers who loved ABBA (and the Carpenters, but I don't know them). That said, there is so much to love about this quote from Shame the Devil by George Pelecanos. Because what private eye Nick Stefanos says is so darn true. I often compare his stories to classic Greek tragedies or Greek mythology set in Washington D.C. You know, since Pelecanos is of Greek origins and all. Now I add Greek philosophy to this. Because this is pure wisdom. Object of nostalgic appreciation, and this comes from a nostalgic, has to be earned. And yes, I think ABBA blew the first time around.
Le sommeil du hérisson (allégorie)

Saturday, 8 August 2015
THE sure sign of coming autumn

Des livres et des bibliothèques

Friday, 7 August 2015
Green olives in the Friday sandwich

Journée internationale de la bière

Thursday, 6 August 2015
"Have a cigar!"

Une authentique limonade estivale

Wednesday, 5 August 2015
Return to Krav Maga
Tonight, I had my first Krav Maga training after a two weeks break. I thought it would be difficult, I found it surprisingly easy, at least when it comes to the physical stuff: I did not feel exhausted and it did not hurt nearly as much as I thought it would. Here is a quick summary: my defense is good, but I need to improve counter-attack and attack. I know I need work to be a decent warrior, let alone a skilled one. And the war wounds tonight: red arms (due to counterattacking) and a scratched/bloody knuckle on my left hand. I look at my bruises and scratches with affection, like some kind of training souvenir.
La civilisation en Outaouais
C'est ce que je me suis dit quand j'ai vu cette photo sur la page Facebook de la Chocolaterie des Pères Trappistes. Qui l'eût cru? Et pas n'importe quelle civilisation: la civilisation jeannoise, sinon saguenéenne (parce que qui dit l'un dit un peu aussi l'autre). Mon frère PJ, Saguenéen expatrié à Gatineau, autant dire le dead end banlieusard de l'Outaouais, en a acheté, je crois comprendre que c'était à prix d'or. Parce que la civilisation a un prix, surtout si elle doit se rendre aussi loin, autant dire à l'autre bout du monde (quoique le bout du monde, c'est bien entendu le Saguenay-Lac-St-Jean, comme chacun sait). Mais enfin bref, dans tous les cas, pour les chanceux de l'Outaouais qui ont envie de se sucrer le bec avec de la classe, vous pouvez vous procurer du chocolat au bleuet.
Tuesday, 4 August 2015
The fruits this August

La quête de L'Auberge de l'abîme
Mon lectorat se rappelle peut-être qu'il y a deux ans (à peu près jour pour jour), j'ai blogué sur L'Auberge de l'abîme, roman histoire et/ou d'aventure d'André Chamson. Ce fut le premier roman que j'ai essayé de lire alors que j'étais enfant. Ca n'a pas été une grande réussite: j'ai lu les premiers chapitres de peine et de misère, puis j'ai abandonné la lecture juste quand ça devenait intéressant. Par paresse je crois. Le pire, c'est qu'à peu près deux ans plus tard je me suis mis à lire des romans du début à la fin, et pas des moindres: Moby Dick, Le Seigneur des Anneaux, etc. Quelque chose s'est débloqué en moi j'imagine.
Et donc j'ai sans doute un souvenir biaisé de l'histoire et de la qualité de la prose, maisj'ai vraiment envie de le revisiter et de le lire du début à la fin cette fois-ci. J'ai donc décidé de partir en quête de L'Auberge de l'abîme, comme je l'ai fait pour un autre livre il y a peu de temps. Si je ne me trompe pas, l'édition que j'avais chez nous (voir l'image au dessus) appartenait à une collection de livres-jeunesse de ma mère. C'est celle-ci que je veux idéalement retrouver. Il se peut que ma mère l'ait gardée, qui sait. Si c'est le cas, ma quête sera de courte durée. Sinon, je sais que Grasset en fait une édition plus récente dans Les Cahiers Rouges, qui sera peut-être plus facile à retrouver. Si vous le voyez quelque part, surtout l'édition de l'image du dessus, prévenez-moi, dites-moi où. Et si vous l'avez, je suis prêt à négocier.

Monday, 3 August 2015
"I love Mondays"?
This is what I've heard this morning from one of my colleagues who works at reception. This is in fact the first thing I heard walking in the office. She said it with genuine enthusiasm, with a smile and everything, talking to the person next to her. I have to confess, I never had that feeling. Whatever the job I had, whether I liked it or not, I never loved Mondays. Sure, some Mondays I enjoyed for specific reasons, due to specific circumstances. But Mondays in general? Nope. I always had a feeling of gloom and doom Monday mornings. Whether I worked or not, actually. Maybe even more so when I was unemployed. So... Where does that feeling my colleague has come from? How can someone love Mondays?
Des vacances en septembre
C'est maintenant officiel: j'aurai des vacances au Québec en septembre cette année. Mes vacances ont été approuvées au travail et j'ai déjà fait mes réservations. Ce seront mes secondes vacances automnales au Québec depuis 2013. Idéalement, j'aurais préféré des vacances en octobre, alors que les couleurs sont plus vives et les températures généralement plus fraîches, mais on ne boudera pas son plaisir. Septembre au Québec, c'est quand même joli. Je partagerai mon temps entre Montréal et Chicoutimi, je ne sais pas encore dans quelles proportions. Le Saguenay est vraiment superbe en automne. Septembre, ce ne sera pas encore la période des arbres flamboyants, mais ça sera plaisant quand même. Et puis comme je n'ai pas vu le Québec depuis Noël, je commence sérieusement à m'en ennuyer. Ca me fera un bien immense d'y retourner.
Sunday, 2 August 2015
Planning the train journey
Mystérieux feux d'artifice
Longing for a Sunday roast
Un temps pour lire dehors
Il n'y a pas de Parc Lafontaine ici, mais il fait aujourd'hui un temps pour lire dehors, je vais... Lire dehors. C'est une de mes activités estivales préférées. En fait, s'il fait assez beau, je lis dehors à toutes les saisons, tant que c'est possible. Je l'ai assez peu fait cette année, je voulais en fait m'y adonner plus tôt dans la journée, mais un certain félin m'y a empêché car il demandait de l'attention. Partager le jardin amène parfois de manières impromptue des responsabilités. Mais enfin bref, comme j'ai une pile de bouquins à lire et que je n'ai jamais assez de temps de mener plusieurs lectures de front, je crois que je vais m'y consacrer jusqu'au souper.
Saturday, 1 August 2015
"Feeling Good"
I have recently stumbled on YouTube on the trailer of a documentary about the life and work of Nina Simone, showing on Netflix. I know very little about her, except for the odd song I recognize but never truly listened to until fairly recently, when I uploaded one on this blog last year. But watching the trailer, it really made me want to watch the documentary and discover Nina Simone. It actually makes me feel like a Philistine, knowing so very little about the high priestess of soul at my age. But it is never too late to educate oneself. So I intend to watch it very soon, probably tomorrow. Until then, I have decided to upload Feeling Good. Just because this song has soul.
La tarte aux bleuets...
