Je sais que je commets un calembour atroce et même pas un original: les réseau sociaux l'ont repassé en boucle depuis hier. Mais bon, si vous ne le saviez pas (mais vous le savez), Valérie Plante a été élue mairesse de Montréal. La première mairesse. Et à 51% des votes, on peut dire qu'elle a vraiment planté solide le maire sortant. Je suis Montréalais d'adoption et expatrié, mais si javais pu voter, ça aurait été pour elle. Denis Coderre, pour moi, c'est la caricature du populiste épais et opaque qui gouverne avec ses chums et se sacre un peu de ses commettants. Comme avait dit ma mère après avoir lu un article sur lui dans L'Actualité il y a... vingt ans environ: "Il est épais dans le plus mince". J'ai écrit il y a quatre ans ce que je pensais de l'homme et de son élection d'alors. Vous dire que je suis enthousiasmé aujourd'hui est un euphémisme: je flotte depuis que j'ai appris la nouvelle ce matin. Je la voulais comme mairesse, mais je n'osais même pas l'espérer, encore moins m'y attendre.
Et je n'oublie pas la grande nouvelle qui concerne le Saguenay et qui me réjouit autant, sinon plus. Je veux lui consacrer un billet entier.
Yes, it's quite the upset victory! Good luck to her!
ReplyDeleteValérie plante Coderre était un slogan officiel de Projet Montréal.
ReplyDeleteEt oui c'est plutôt jubilatoire de gagner ses élections dans ce contexte