Tuesday, 23 August 2011

Les villes avec lesquelles je dois me réconcilier

Une amie, enfin une connaissance franco-algérienne que j'ai connue lors de ma première année d'études en Angleterre m'avait dit, lorsque je lui avais avoué que je n'aimais pas beaucoup Paris: "ça me brise le coeur". Je ne lui en ai pas tenu rigueur: quand quelqu'un n'aime pas Montréal, ça me met en colère, surtout lorsque le quelqu'un en question est québécois. Mais bref, je n'arrive pas à aimer Paris. Je ne la déteste pas, mais je n'arrive pas à l'aimer comme tant de gens le font. Vous voyez à droite une photo de Paris vue du haut de la Tour Eiffel... Et ça ne me dit rien. C'est gris comme le jour gris qu'on a ici.

Je suis peut-être de mauvaise foi, mais au moins je ne déteste pas Paris. Je ne suis pas loin de détester Londres, même s'il fut un temps où je lui trouvais du charme il n'y a pas si longtemps. Paris, je trouve que c'est trop souvent un piège à touristes, si j'y vivais j'aurais peut-être un autre point de vue si j'y vivais et travaillais. Londres, j'aime quand même y aller parfois, mais plus jamais pour Londres elle-même, plutôt pour ce que l'on y trouve: les restaurants (j'y mange bien la plupart du temps), les musées, les librairies énormes, etc. C'est la ville que je trouve malsaine, trop grosse, trop pleine de monde, trop tout. Il faudra bien que j'apprenne à l'aimer à nouveau. Mais il y a une ville avec laquelle c'est peine perdue: Ottawa. Je ne crois jamais parvenir à cette ville anglaise sans authentiques Anglais.

1 comment:

  1. J'aime bien Ottawa mais je ne supporte absolument pas Québéc, je ne sais pas pourquoi mais je n'aime pas du tout.

    Paris j'aime bien quand j'évite les quartiers mal famés et trop touristiques. Ca grouille tout le temps et il y a plein de trucs à faire. Mais si je pouvais vraiment choisir ça serait NYC!

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