Ce titre de billet n'est pas fautif (ce n'est pas une coquille) mais un jeu de mots facile. Je méprise profondément l'Ô Canada et tout son catholicisme de carnaval. En fait, c'est ce que je déteste le plus dans l'hymne national: dans sa version originale c'est une cochonnerie catholique imbuvable. Le frère Untel l'avait donné en dictée et les fautes l'avaient fait rugir. On retrouve "de foie trempé" dans son bouquin. J'ai pensé reproduire cette faute ici comme titre, dans un contexte où elle ne serait pas fautive.
Alors voici le contexte, lequel est aussi un peu le sujet de ce billet: depuis mon arrivée ici je m'imbibe modérément mais régulièrement de cidre et de bière. Alors je suis de foie trempé. Qu'est-ce qu'on se dilate la rate, pour demeurer dans l'anatomie. Le frère Untel n'approuverait pas, mais je trouve que "de foie trempé" est beaucoup mieux que "de foi trempée." Alors je suggère qu'on l'adopte.
Parfois trop de foie trempé cause des troubles du foie. Et en toute bonne foi, parfois j'oublie mon foie.
ReplyDeleteMerci cent fois, de me le rappeler.
Y'a aussi le «foie Tremblay» dans la version de ses élèves... Ou bien est-ce la même chose, au fond?
ReplyDeleteIl était une fois,
ReplyDeleteUne marchande de foie,
Qui vendait du foie,
Dans la ville de Foix...
Elle se dit ma foi,
C'est la première fois
Et la dernière fois,
Que je vends du foie,
Dans la ville de Foix