Thursday, 28 July 2011

Une anecdote cégépienne

J'ai une nouvelle amie Facebook: une ancienne enseignante que j'avais au cégep. J'ai comme amis sur Facebook plusieurs anciens profs. Le cégep a été pour moi des années fastes: j'y ai créé mes amitiés les plus durables (un cas ici, pardonnez le jeu de motz vaseux) et j'ai vraiment aimé le milieu. C'est l'une des premières fois de ma vie d'étudiant où la semaine ne me semblait pas être un calvaire.

Enfin bref, fin de préambule j'en reviens à cette ancienne enseignante et à l'anecdote du titre de ce billet. Je suis heureux qu'elle m'ait accepté comme amie, parce que je l'ai bien fait souffrir. J'exagère bien sûr, mais j'étais passablement dissipé dans le cour (j'imagine qu'on pouvait se le permettre). Nous faisions souvent des travaux d'analyses en équipe, sur un extrait ou un autre de littérature québécoise. Durant un cours, il fallait trouver des thèmes d'un extrait d'Au Pied de la pente douce de Roger Lemelin. Dans l'extrait en question, Guillaume Plouffe (je crois) jouait dans une compétition de pétanque ou un truc du genre. Le thème que mon coéquipier et moi avions placé en tête de liste: "La Gloire du Sport". Avec les majuscules. C'était un gag très stupide, mais on n'a pas réussi à demeurer sérieux pour le restant de la session.

1 comment:

  1. You had to be there comme ils disent en anglais. Mon cégep était bien, mais j'ai eu plus de fun (et de stress) à l'université...

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