Je commente l'actualité en retard (ce blogue aurait pu s'appeler "Chronique presque contemporaine"), mais je suis en train de préparer une entrevue alors mon lectorat sera je l'espère indulgent.
Enfin bref, il y a des jours où je je sens plus expatrié que d'habitude. Ca arrive surtout quand je ne partage pas un évènement important ou anecdotique de la vie montréalaise ou québécoise. Je sens que je ne partage pas quelque chose qui est commun à mes compatriotes. C'est arrivé récemment, lorsque la fumée des feux de forêt s'est rendue jusqu'en ville. J'ai déjà vécu ça à Chicoutimi, mais je ne me rappelle pas avoir été dans pareille situation à Montréal. Pareille nouvelle ne me touche pas comme l'émeute de Montréal-Nord, mais elle me rappelle un peu que je ne suis plus montréalais.
On a eu de la boucane à Gatineau également. Il y en avait eu jusqu'à New York (du Québec, du nord du Lac-Saint-Jean en fait), en passant par Montréal évidemment il y a quelques années aussi. On a un été hâtif en maudit.
ReplyDeleteCa a boucané pas mal on dirait. J'avoue que je trouve l'odeur du bois qui brûle pas désagréable, mais à petites doses. Ce n'est pas un mal un été hâtif, quant le printemps a lui été tardif.
ReplyDeleteIci, le printemps n'a pas été tardif, il a été hâtif aussi, on n'a pas eu d'hiver. Et sans l'air climatisé, c'est fort tannant un été hâtif.
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