Il fait toujours beau et chaud, en fait c'est très collant, ce qui ne me dérange pas du tout, because l'été précédent. Et je ne travaille pas, alors autant qu'il fasse beau. Cela dit, à part suer et se promener, qu'est-ce qu'on peut bien faire ici une splendide journée d'été? Il me faudrait une piscine.
Comme vois l'avez sans doute lu dans mon dernier billet en anglais, l'été qui est là (et bien là!) me fait rappeler les souvenirs d'enfance. Surtout ceux autour de la piscine, où on jouait du matin jusqu'au soir quand nos aprents étaient là (parce que quand ils travaillaient, on suait jusqu'à cinq heures). La piscine faisait office d'océan Pacifique ou de mer des Caraïbes. On y jouait aux pirates, au monstres marins (requins, pieuvres géantes, etc.), aux histoires d'espionnage à la Thunderball, au épopées fantastiques-médiévales ou une combinaison de ces différents genres (une épopée fantastique-médiévale qui se passe en mer, par exemple, ou un groupe d'espions qui se battent contre des pirates modernes, ou des pirates aux prises avec un requin). Parfois, nos histoires étaient trop élaborées pour nos amis. Il ne faut pas grand-chose pour stimuler l'imagination d'un enfant. Les avions ou hélicoptères qui passaient au dessus de nous étaient des engins ennemis, les planches en styrofoam qu'on avait étaient des requins ou des dauphins (ou Moby Dick), etc. Bien sûr, quand on sortait de l'eau, on était sur une île déserte ou sur le bastingage d'un navire. Ou dans un sous-marin... J'avais découvert 20 000 Lieues sous les mers grâce à un long-jeu du film, acheté lors d'un voyage à Montréal. Ca nous a aussi passablement influencés.
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