Je viens de lire une version de la légende du diable beau danseur. Pas aussi effrayante que la version que j'avais lue dans mon enfance, titrée Le baiser maléfique (et adaptée par un certain Robert Soulières), mais quand même assez intéressante.
Parlant du Baiser maléfique, il semblerait que sa fin tragique n'ait pas été appréciée par certaines mères poules. Elles semblent ne pas avoir apprécié son côté sombre et le vocabulaire ("désuet" dit une critique, qu'est-ce qui ne faut pas entendre, ton petit va simplement développer son intelligence, chose). Je trouve les mères québécoises parfois bien décourageantes et inutilement protectrices. Si vous ne voulez pas que vos enfants aient peur de leur ombre, mettez-les en contact avec le diable. J'ai raconté cette histoire à ma nièce, elle a eu une peur bleue, mais elle voulait quand même que j'en raconte d'autres comme celle-là.
Un document de l'Université de Montréal (je crois) qui possède cinq versions de la légende.
Ah, ces maudits franças condescendants...
ReplyDeleteTe rappelles-tu de l'histoire Bonhomme Sept-Heures (qui, contrairement à la croyance populaire, ne vient pas de bonesetter)?
Je crois que ce sont des Québécoises hyper-protectives, pas des Françaises. Les critiques françaises semblent plutôt positives, notamment à cause du vocabulaire.
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