Friday 6 May 2016

Une question (et une vacherie) pour Denise Bombardier

Je suis un peu en retard pour commenter la nouvelle, mais je voulais néanmoins donner mon avis sur la récente controverse entre Richard Martineau et Denise Bombardier, à propos des pastafariens en particulier et de la religion en général. La chronique de Martineau (avec qui je suis rarement d'accord) au sujet de l'Église pastafarienne a entraîné une réaction hystérique de Denise Bombardier dans une chronique qui suintait l'ignorance et la mauvaise foi. Je ne vais pas m'attarder là dessus, je vais me contenter de poser une question à Madame Bombardier, et de lui lancer une insolence bin vache mais méritée. C'est quoi, chère Denise, "le besoin de transcendance de l'homme"? Ce n'est pas en faisant des déclarations grandiloquentes et en mentionnant Voltaire que vous relèverez la pauvreté de votre argument ou votre manque de rigueur intellectuelle lorsqu'on aborde le sujet de la foi religieuse. (Ça c'était la vacherie). Et les croyances, quelles qu'elles soient, transcendantes ou non (pour ce que transcendance veut dire), doivent être démontrées afin d'être prises au sérieux. Mais bon, ça semble vous échapper.

2 comments:

Prof Solitaire said...

Tu as mentionné à plusieurs reprises ton respect pour Bombardier sur mon blogue dans le passé, alors j'ai immédiatement pensé à toi quand j'ai lu l'article. Je suis heureux de lire ta réaction.

Tu sais quel est l'autres truc qui me fait immédiatement penser à toi? Calvin & Hobbes...

Ouais, Denise Bombardier et Calvin & Hobbes... pourquoi pas? ;-)

Ah pis le food porn aussi... faudrait que je reparte une guerre un de ces quatre ;-)

Guillaume said...

Je suis d'accord avec Denise Bombardier sur certaines choses. Mais son respect obséquieux envers ceux qui portent la soutane n'en fait pas partie. Je trouve par ailleurs qu'elle est surestimée comme intellectuelle. Ce qui ne l'empêche pas d'avoir parfois raison. dans ce débat, elle ne l'a pas et ses arguments sont ceux d'une prof de religion de primaire des années 80.

Repars une guerre de food porn, j'ai déjà l'artillerie lourde.